mercredi 29 octobre 2008

Marrakech Dreams fête le lancement de son activité


Marrakech Dreams une agence française pour l'organisation de mariages et d'événements avec un positionnement assez haut de gamme, lit-on dans un communiqué de presse reçu par Marrakech News.


Son rôle est d'accompagner les couples lors de l’organisation de leur cérémonie de mariage à Marrakech et sa région (Essaouira, Casablanca, Ouarzazate).

Tenir une relation étroite entre les futurs époux et les prestataires locaux appelés à intervenir dans les cérémonies de mariage, avec un piment très spécialisé pour aromatiser la mise en scène des festivités matrimoniales.

L'agence a pouvoir aussi d'organiser les fêtes de mariage à l'extérieur du Maroc et de rendre les moments heureux pour les futurs mariés dans n'importe quel endroit.

L'agence Marrakech Dreams se dit plus spécialisée pour Marrakech où les demandeurs sont de plus en plus attirés par les cérémonies atypiques.

N'hésitez pas à prendre contact avec Amina ELTMALI pour un devis personnalisé de votre beau projet de mariage (ou autre événement : anniversaire, séjour saint valentin...).

Contact :

Amina ELTMALI
contact@marrakechdreams.com
06 69 61 66 79
231, rue Saint Honoré
75001 Paris

Visitez notre site : www.marrakechdreams.com

Exposition Photographique ''Kennedy, la nouvelle frontière''

Marrakech - Une exposition exceptionnelle de 100 photographies noir et blanc proposés par l'artiste Frédéric Lecompte rendra hommage au président John Fitzgerald Kennedy: "Kennedy, la nouvelle frontière" commémorant le 45ème anniversaire de sa disparition. L'exposition sera tenue à l'espace Art Aéro de l'aéroport Marrakech Ménara, lit-on dans un communiqué reçu par Marrakech News.


Exposition Photographique ''Kennedy, la nouvelle frontière''
On découvrira dans cette exposition la visite de SM Hassan II chez les Kennedy, Jacqueline Kennedy recevant le roi Hassan II, le frère du président Kennedy, le sénateur Edward Kennedy en visite dans le sud du Maroc, SM Hassan II présentant ses condoléances à Jacqueline Kennedy et ses enfants à New York après l'assassinat du président Kennedy.

Une exposition qui emportera ses visiteurs dans un voyage dans le temps avec le président le plus aimé de l'histoire des États-Unis d'Amérique, celui qui a le plus marqué l'imaginaire de la communauté internationale.

L'aéroport Marrakech Ménara donne à cette exposition toute sa portée symbolique, lieu dont la vocation est d'accueillir des millions de voyageurs de différentes cultures et de différentes régions du monde. lit-on dans un communiqué

Plusieurs expositions tenues dans les galeries "Art Aéro" aux aéroports de Casablanca, Tanger, Marrakech et Essaouira viennent consacrer cet engagement de l'Office National Des Aéroports (ONDA) de promouvoir l'art au Maroc et de faire des aéroports de véritables espaces de vie et d'enrichissement.

Exposition Photographique ''Kennedy, la nouvelle frontière''

dimanche 26 octobre 2008

Marrakech écarte la ville du Cap et obtient l'organisation en 2011 du XXème Congrès Mondial de Neurologie

New Delhi, 23 - La Fédération Mondiale de Neurologie (FMN) a décidé jeudi soir à Delhi de tenir son XX ème Congrès à Marrakech en 2011.


El Mostafa El Alaoui Faris
El Mostafa El Alaoui Faris
Dès l'ouverture dans l'après-midi des travaux du 12ème Congrès Asie-Océanie de Neurologie et ceux de la 16ème Conférence Annuelle de l'Académie de Neurologie de l'Inde, une session spéciale a été consacrée au choix de la métropole africaine qui aura l'honneur d'être la première ville du continent à abriter l'évènement scientifique international.

Après des débats mouvementés et le passage au vote pour départager la ville de Marrakech et celle du Cap (Afrique du Sud), la ville ocre s'est quand même vue attribuer, à l'unanimité presque, l'honneur de recevoir dans trois ans l'élite mondiale du domaine.

La candidature marocaine a été, en effet, soutenue par 45 délégués, y compris celui du pays hôte, alors que la ville du cap n'a obtenu que 9 voix seulement.

La délégation marocaine conduite par le président de la Société Marocaine de Neurologie (SMN), El Mostafa El Alaoui Faris, ne cache pas sa joie et affirme que le mérite de cette victoire éclatante revient à la mobilisation et au travail remarquable effectué par la diplomatie marocaine et la société civile.

Mais pour El Alaoui, c'est surtout l'aboutissement de deux années de lobbying et de 25 années d'expérience, de recherche et de savoir-faire qui ont hissé le Maroc au niveau des pays les plus avancés en la matière.

Le Royaume se distingue à plus d'un égard avec la maîtrise de technologies de pointe telle le "Gamma-Knife Perfexion", unique en Afrique et permettant les opérations les plus délicates au niveau du cerveau, et des expériences originales comme le projet de recherche épidémiologique sur les accidents cérébraux financé à hauteur de 4 millions de DHS par l'Académie Hassan II des Sciences et Techniques.

L'action menée par la "SMN" et autres institutions marocaines similaires, notamment en matière d'adaptation des techniques de pointe au contexte marocain et les efforts déployés pour une constante amélioration du statut social des malades relevant de la neurologie, n'a pas manqué d'intéresser la "FMN" et ses pays membres mais l'action du Maroc en faveur de l'Afrique sub-saharienne aura été déterminante dans l'octroi du XX ème Congrès.

Le fait d'en confier l'organisation à la ville de Marrakech, qui n'en n'est pas à une première internationale, devrait aider à asseoir le rôle d'avant-garde du pays et à le qualifier à accueillir et à contribuer au perfectionnement des compétences du continent, explique le président de la "SMN".

Plus de 1.200 délégués prennent part aux travaux de quatre jours ouverts aujourd'hui par l'ancien président et père du programme spatial indien, APJ Abdul Kalam, qui a saisi l'occasion pour souligner l'importance de la recherche médicale et inviter les participants à faire appel aux technologies de l'information pour renforcer les arsenaux de recherche et de thérapie.

Le 19ème Congrès Mondial de Neurologie est organisé à Bangkok, en Thaïlande, du 24 au 30 octobre 2009.

Source : Marrakech News

Hommage à Sigourney Weaver et Michelle Yeoh au Festival International du Film de Marrakech

Pour cette huitième édition, le Festival s’inscrit sous les astres de l’éternel féminin, les films érigeant cette année les femmes en héroïnes intemporelles. Aussi, nous a-t-il paru juste de les honorer à travers Sigourney Weaver et Michelle Yeoh, les deux comédiennes incarnant chacune la plénitude féminine, lit-on sur un communiqué de presse reçu par Marrakech News.


Hommage à Sigourney Weaver et Michelle Yeoh au Festival International du Film de Marrakech
Le Festival se veut également résolument éclectique en rendant hommage non seulement à Andrei Konchalovsky et « sa » Russie, mais aussi à ces deux comédiennes emblématiques sur leur continent (les États-Unis pour la première, l’Asie pour la seconde) et internationalement renommées.

L’Europe n’est pas en reste, rappelons-le, le Festival mettant à l’honneur le cinéma britannique à travers une rétrospective de quarante films.

Née à New York, Sigourney Weaver est diplômée de l’université de Stanford et de la School of Drama de Yale. Elle obtient son premier cachet en jouant les doublures dans la pièce de théâtre « L’épouse fidèle », mise en scène par Sir John Gielgud.

Sigourney Weaver fait ses débuts au cinéma en 1979 dans « Alien » de Ridley Scott.

L'autre star du FIFM est née à Ipoh en Malaisie, Michelle Yeoh voue une passion pour la danse classique dès l’âge de quatre ans.

Elle intègre ainsi la Royal Academy of Dance de Londres mais une blessure l’oblige à changer de voie. Après avoir obtenu une licence d’art, Michelle Yeoh regagne en 1983 son pays natal, où elle remporte notamment le titre de Miss Malaisie.

Source : Marrakech News

Festival International du Film de Marrakech

vendredi 17 octobre 2008

L'Américain Barry Levinson, président du jury de la 8-ème édition du FIFM

Le réalisateur, scénariste et producteur américain Barry Levinson sera le président du Jury de la 8ème édition du Festival international du Film de Marrakech (FIFM), qui aura lieu du 14 au 22 novembre prochain, a annoncé vendredi la Fondation du FIFM.

Détenteur de quatre Oscars, dont celui de meilleur réalisateur, Barry Levinson a dirigé des comédiens tels que Robert Redford, Robert De Niro, Robin Williams, Tom Cruise, Dustin Hoffman, Samuel L. Jackson, Brad Pitt ou Forest Whitaker, a précise un communiqué parvenu à la MAP.

Le Jury de la 8-ème édition du FIFM sera également composé de Sebastian Koch (comédien allemand), Joaquim de Almeida (comédien portugais), Hugh Hudson (réalisateur, scénariste et producteur anglais), Caterina Murino (comédienne italienne), Agusti Villaronga (réalisateur et scénariste espagnol), Natacha Regnier (comédienne française), Ghita El Khayat (femme de lettres et des arts marocaine) et Mariama Barry (écrivain et juriste guinéo-sénégalaise), ajoute la même source.

Le communiqué indique par ailleurs que quatre prix départageront les longs métrages en compétition, à savoir l’étoile d’or (grand prix), le prix du Jury, le prix d’interprétation féminine et le prix d’interprétation masculine.

Placée sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI, cette édition rendra hommage à plusieurs cinématographies : "40 ans de cinéma britannique", "la Russie d’Andrei Konchalovsky", "50 ans de cinéma marocain" et "le meilleur de Youssef Chahine", rappelle-t-on.

Source : Made in Marrakech

Une école internationale de football à Marrakech

Marrakech News - Comme annoncé dans notre édition électronique du vendredi 10 octobre, l'arrivée de Jonny Halliday, de Jean Claude Darmon et un groupe de la maison Christian Dior, Patrick Bruel dans la matinée du vendredi sur le même vol cache une surprise et une affaire. C'est bien l'attendu et l'inattendu.


Ph.  A.L.M
Ph. A.L.M
Marrakech verra la participation de ces célébrités dans son essor économique mais d'un côté sportif: un projet de création d'une école de football est en étude, elle sera suivant les normes internationales et dotées d'infrastructures de haut niveau et pourra accueillir les grandes équipes internationales pour leurs entrainements et abriter les matchs de football à caractère mondial.

Le financement de cette école proviendra de groupe "Darmon", de Johnny Halliday et de l'acteur Jean Réno.

Un autre objectif consigné à cette école ont déclaré les projeteurs à A.L.M: "encourager les jeunes talents sportifs marrakchis et leur offrir l'espace d'entraînement leur permettant une intégration dans le milieu du sport professionnel à l'échelle mondiale".

Le dossier est soumis aux autorités de la Wilaya de Marrakech, le maire de Marrakech Omar Al Jazouli a reçu dans ses bureaux les célébrités qu'il a qualifiées d"amis du Maroc" et a apprécié l'initiative des gens qui ont toujours les bons rapports avec la Maroc un pays hospitalier et Marrakech la ville authentique.

Source : MN

mardi 14 octobre 2008

Marrakech à l'honneur à Silves


Organisée par la Municipalité de Silves et la Commune urbaine de Marrakech en collaboration avec l'Association "Al Mouatamid Ibn Abbad pour la culture islamique et méditerranéenne" et le consulat du Maroc en Algarve, cette manifestation vise à permettre aux habitants de Silves et de la région de l'Algarve de découvrir la richesse de la culture marocaine, à travers le patrimoine, l'art, la musique et la gastronomie de la Cité ocre.

Le coup d'envoi de cette manifestation, qui se poursuivra jusqu'au 18 octobre, a eu lieu ce week-end lors d'une cérémonie à laquelle ont assisté plusieurs personnalités notamment le secrétaire d'Etat portugais aux Affaires étrangères, Joao Gomes Cravinho, la maire de Silves, Mme Isabel Soares, l'adjoint au Maire de Marrakech, Khalid El Fataoui, l'ambassadeur du Maroc à Lisbonne, Samir Arrour et plusieurs chefs de missions diplomatiques arabes.

Intervenant à cette occasion, M. Gomes Cravinho a salué cette initiative qui, a-t-il dit, témoigne de l'excellence des relations entre le Portugal et le Maroc et de la volonté des instances élues des deux pays d'accompagner la dynamique qui caractérise les relations bilatérales.

Après avoir fait remarquer que cette manifestation intervient à la suite de la visite "réussie" qu'il vient d'effectuer au Maroc, le diplomate portugais a appelé à la multiplication de ces initiatives en vue de renforcer la connaissance mutuelle entre les peuples portugais et marocain et promouvoir le dialogue entre les intellectuels des deux rives de la Méditerranée.

Pour sa part, la maire de Silves s'est félicitée de la tenue de cette manifestation culturelle qui, a-t-elle précisé, vise à mettre en valeur les liens qui se sont tissés entre Silves et Marrakech à travers l'histoire et particulièrement à l'époque de la présence musulmane en Andalousie et en Algarve.

Les habitants de Silves et de l'Algarve en général portent une "affection particulière" pour Marrakech pour le fait qu'elle abrite le tombeau d'Al Mouatamid (1040-1095), troisième et dernier roi de la dynastie des Abadides qui fut nommé par son père gouverneur de cette région du Portugal à l'ère médiévale, a dit Mme Soares.
Marrakech à l'honneur à Silves ...(deux) La mairie de Marrakech est animée d'une volonté sincère pour intensifier la coopération avec Silves et la région de l'Algarve en vue de contribuer à promouvoir l'entente et la connaissance entre les peuples des deux pays, à travers des manifestations à caractère culturel et économique, a souligné, de son coté, M. El Fataoui, précisant qu'il est prévu que Marrakech abritera, à son tour, une semaine culturelle de Silves et une université d'été autour de la culture et du patrimoine commun.

Au terme de cette cérémonie, tenue au siège de la municipalité de Silves, il a été procédé au vernissage d'une exposition de l'artiste photographe marrakchi Hassan Nadim sous le thème "Olhares vizinos- Regards voisins".

L'artiste, dont les œuvres sont très appréciées à l'étranger, y présente une quarantaine de clichés d'une rare finesse retraçant la vie à Silves pris lors de son séjour artistique effectué récemment dans cette ville.

Les arts décoratifs de Marrakech (zellij, bois, métaux, "gebbs", "tadlakt", et tissage de la laine) sont également mis en valeur à travers une exposition sous le thème "Art Islamique : techniques décoratives du Royaume du Maroc", organisée au siège de la Maison de la culture islamique et méditerranéenne de Silves, à l'initiative de l'architecte José Alberto Alegria, un amoureux de l'architecture marocaine qui a effectué ses premières années de stage à Marrakech.

Parallèlement, le public aura la possibilité de se procurer des articles de l'artisanat marrakchi lors d'une exposition-vente qui se tient en marge de cette manifestation.

La gastronomie typique de la Cité ocre est, elle aussi, à l'honneur. Ainsi, trois restaurants de la ville proposent des menus typiquement marrakchis préparés par des chefs cuisiniers provenant de cette cité impériale.

Pour sa part, la bibliothèque municipale de Silves abrite, sous le thème "Textes et images de Marrakech", une exposition de manuscrits et de livres rares sur l'histoire de Marrakech ainsi que des £uvres écrites par des écrivains marrakchis ou ayant vécu dans cette cité impériale.

La manifestation sera, également, marquée par des concerts de musique traditionnelle animés chaque soir par des troupes Gnawa et de D'qaa marrakchia sur des places publiques de la ville, qui a été décorée pour la circonstance de plusieurs dizaines de drapeaux du Royaume.

Par MAP

La huitième édition du Festival International du Film de Marrakech aura lieu cette année : du vendredi 14 au samedi 22 Novembre 2008


En 2007, le metteur en scène Milos Forman et président du Jury de la septième édition rendait hommage au Festival par ces mots:
"Un Festival offre une sélection orientée qui apporte au public une connaissance internationale du cinéma autour de différentes cultures. C’est ce qui fait la force du Festival International du Film de Marrakech."

Pour cette huitième édition, le Festival rendra hommages à plusieurs cinématographies:

- 40 ANS DE CINÉMA BRITANNIQUE
- LA RUSSIE D’ANDREI KONCHALOVSKY
- 50 ANS DE CINÉMA MAROCAIN
- LE MEILLEUR DE YOUSSEF CHAHINE

Un prochain communiqué dévoilera les noms des personnalités qui seront honorées pendant le festival.

Après le Maroc, pays honoré en 2004, l’Espagne mise à l’honneur en 2005, l’Italie en 2006, puis la cinématographie égyptienne en 2007, le Festival rendra hommage cette année à la Grande Bretagne, une cinématographie singulière qui a su résister face à la domination du cinéma hollywoodien grâce à un particularisme des genres qu’il s’est approprié ; la comédie, le réalisme social et le fantastique ; et de grands maîtres tels Alfred Hitchcock ou Ken Loach qui se sont imposés hors de ses frontières.

Une rétrospective d’une quarantaine de films, depuis « If » de Lindsay Anderson (Palme d’or en 1968) jusqu’au film de Ken Loach « Le Vent se lève » (Palme d’Or 2006) sera proposée aux festivaliers.

De plus, dans le cadre de la section FLASHBACK ; qui rendait hommage l’année dernière aux cinéastes disparus Michelangelo Antonioni, Ingmar Bergman et au producteur Tunisien Ahmed Baha Attia ; le Festival a décidé cette année de rendre hommage en douze films à trois cinéastes emblématiques de la production anglaise :

ALFRED HITCHCOCK
Seront notamment projetés : STAGE FRIGHT (LE GRAND ALIBI), THE BIRDS (LES OISEAUX), FRENZY…

STANLEY KUBRICK
A CLOCKWORK ORANGE (ORANGE MÉCANIQUE) et BARRY LINDON pourront être redécouverts par les festivaliers

JOSEPH LOSEY
Les chefs d’œuvre THE SERVANT et THE GO-BETWEEN (LE MESSAGER) seront notamment projetés.

Cette rétrospective, qui sera reprise à Paris en Janvier 2009, est l’occasion pour le Festival de Marrakech de montrer, au travers de la talentueuse carrière Internationale d’Andrei Konchalovski, la spécificité de son regard, tendre, ironique et lucide sur « sa » Russie.

Sept films seront proposés aux festivaliers, dont son dernier opus, « Gloss » :

1967 – THE STORY OF ASYA KLYACHINA
(L’histoire d'Assia Klyatchina qui aimait mais jamais était mariée)
Avec Iya Savina, Lubov Sokolova, Alexander Sourine
Assia, une ouvrière agricole, a deux amants. L'un est amoureux d’elle et veut l'épouser, l'autre a un comportement brutal...

1969 – A NEST OF GENTLEFOLK (Le nid de gentilshommes)
Avec Irina Kuptchenko, Leonid Kulaguin, Beata Tyshkevitch
Un noble marié retourne en Russie après onze ans passés à l'étranger et tombe amoureux d’une jeune femme.

1970 – UNCLE VANYA (Oncle Vania)
Avec Innokenty Smoktounovsky, Sergey Bondartchouk, Irina Kuptchenko
Un professeur à la retraite retourne dans son domaine pour y vivre avec sa jeune et belle épouse.

1978 – SIBERIADE (Siberiada)
Avec Vladimir Samoïlov, Evgeny Perov, Sergeï Chakourov
La chronique d'un village de Sibérie du début du XXe siècle aux années soixante-dix.

1991 – THE INNER CIRCLE (Le cercle des intimes)
Avec Tom Hulce, Lolita Davidovitch, Alexander Zbruev
L’histoire vraie d’un officier du KGB qui fut le projectionniste personnel de Staline de 1939 jusqu’à la mort du dictateur.

1994 – RIABA MA POULE
Avec Inna Tchourikova, Alexander Sourine, Guennady Egorïtchev
Assia vit avec sa poule Riaba et découvre un trésor dans son poulailler…

2002 – LA MAISON DE FOUS (House of Fools)
Avec Yulia Vïsotskaya, Soultan Islamov, Stanislav Varkki
En 1996, les patients d’un asile psychiatrique situé à la frontière russo-tchétchène se retrouvent livrés à eux-mêmes lors de la guerre en Tchétchénie.

2007 – GLOSS
De Yulia Vïsotskaya, Irina Rosanova, Alexeï Serebryakov
Une jeune fille originaire d’une ville minière de province se rend à Moscou afin de réaliser son rêve : devenir mannequin.

Né à Moscou en 1937, Andreï Konchalovsky est le fils du couple d’écrivains Sergeï Mikhalkov et Natalia Konchalovskaïa. Petit-fils du peintre Piotr Konchalovsky et arrière petit-fils du peintre Vassili Sourikov, il étudie pendant douze ans le piano, d’abord à l’Ecole Musicale puis au Conservatoire. Après avoir vu le film « Quand passent les cigognes » de Mikhaïl Kalatozov, il interrompt ses études musicales et intègre l’Ecole de Cinéma de Moscou (VGIK) sous la direction de Mikhaïl Romm. Il partage les bancs de l’école avec Andreï Tarkovsky pour lequel il écrit le scénario du court métrage « Le rouleau compresseur et le violon » (1961), l’assiste ensuite sur le tournage de « L’enfance d’Yvan » (1962) et collabore avec lui à l’écriture de « Andrei Roublev » (1969).


Andreï Konchalovsky signe en 1965 son premier long métrage, « Le premier maître », d’après un livre de Chingis Aitmatov sur la période post-révolutionnaire de 1917. Son second film, « L’histoire d'Assia Klyatchina qui aimait mais jamais était mariée » (1966), est censuré par les autorités soviétiques pendant plus de quinze ans. « Le nid de gentilshommes » (1969), une étude de l’aristocratie du XIXe siècle, reçoit un accueil mitigé de la critique qui loue néanmoins sa beauté visuelle. Son film suivant, « Oncle Vania », d’après la pièce de Chekhov, est considéré par beaucoup comme l’un des plus importants films russes mais c’est seulement après ses deux prochains films, « La romance des amoureux » (1974) et « Sibériade » (1978) - un portrait réaliste et dramatique des habitants d’un village de Sibérie -, qu’Andreï Konchalovsky devient un cinéaste reconnu internationalement. Sous l’égide de producteurs américains et européens, il va tourner de nombreux films en langue anglaise, notamment « Maria's Lovers » (1984), « Runaway Train » (1985), « Duo pour un soliste » (1986), « Le bayou » (1987) et « Voyageurs sans permis» (1989).

Andreï Konchalovsky travaille également comme metteur en scène pour le théâtre et l’opéra dans de nombreuses villes européennes. Il met ainsi en scène « La mouette » de Chekhov au Théâtre de l’Odéon à Paris, « Guerre et paix » d’après Tolstoï au Metropolitan Opéra de New York et au Théâtre Mariinsky de Saint Petersbourg, l’opéra « Un ballo in maschera » de Verdi au Théâtre Reggio de Turin ou encore « La dame de pique » et « Eugène Onéguine » d’après Alexandre Pouchkine à la Scala de Milan.

En 2001, Andreï Konchalovsky retourne derrière la caméra pour réaliser la coproduction franco-russe « La maison de fous », une histoire se déroulant dans un asile situé à la frontière russo-tchétchène lors de la guerre en Tchétchénie. Le film obtient le Lion d’Argent au Festival de Venise en 2002 et l’accueil est enthousiaste dans toute l’Europe.

En 1958, Mohamed Osfour, un autodidacte, rompu aux différents métiers de cinéma grâce à ses nombreuses collaborations dans des productions internationales tournées au Maroc, réalisait son rêve : montrer au public marocain des salles populaires de Casablanca, son premier long métrage, « Le Fils maudit ». Une expérience personnelle menée après quelques courts métrages qui parodiaient les grands genres cinématographiques.

Une initiative qui va être fêtée cette année comme le point de départ de la filmographie marocaine parvenue à ses cinquante ans (1958 – 2008), même si, à proprement parler, on peut faire la distinction entre l’histoire du cinéma marocain et l’histoire du cinéma au Maroc : le pays a en effet connu très tôt l’expérience des tournages internationaux et la présence du spectacle cinématographique.

La filmographie marocaine fête cette année son jubilé d’or dans un contexte particulier, marqué par une grande dynamique qui caractérise l’ensemble de la profession cinématographique. Conséquence d’un long parcours de tâtonnements, de recherches, de traversée de désert et fruit d’une maturation qui lui ont permis de se doter d’outils et de stratégies au service d’une production cinématographique nationale de plus en plus visible, progressant à rythme régulier, reconnue et appréciée à travers le monde.

Cette huitième édition a tenu à saluer l’immense talent de ce cinéaste disparu récemment, présent dès sa première année, et auquel le Festival avait déjà rendu hommage en 2004. Un ami du Festival, qui a toujours soutenu par sa présence et celle de son travail, notre manifestation.

Dans le cadre de cet hommage posthume, le Festival projettera les films suivants :

1950 – BABA AMIN (Papa Amin)
Avec Hussein Riad, Faten Hamama, Kamal Al-Shennawi, Marie Munib
Papa Amin est riche mais avare. Un cauchemar le poursuit : comment va s’en sortir sa petite famille après sa mort ?

1958 – BAB EL HADID (Gare centrale)
Avec Youssef Chahine, Hind Rostom, Farid Shawky, Hassan El Baroudy
Un marchand de journaux handicapé tombe amoureux d’une belle vendeuse de limonade. Comme elle repousse ses avances, il décide de la kidnapper.

1968 – AL NASS WAL NIL (Un jour, le Nil)
Avec Vladimir Ivachov, Imad Hamdi, Zalah Sulficar, Igor Vladimirov
1964. Assouan en Egypte. Après deux ans d’un travail titanesque, l’ancien cours du Nil va être fermé. L’inauguration du grand barrage ouvrira une nouvelle ère tout en inondant définitivement les terres ancestrales.

1969 – AL ARD (La terre)
Avec Mahmoud Al Meligi, Ezzat Al Alayli-Nagwa Ibrahim, Hamdi Ahmed
Années 1930. L’Egypte est gouvernée par une monarchie sous tutelle anglaise. Loin du Caire, les paysans d’un village ont du mal à s’en sortir. Un jour, pour favoriser les propriétaires terriens, les autorités décident de restreindre les permis d’irrigation.

1973 – AL OUSFOUR (Le moineau)
Avec Salah Kabil, Ali El Scherif, Mahmoud El Meliguy
A la veille de la guerre des six jours, un policier se noue d’amitié avec un journaliste qui enquête sur une affaire de détournement d’armes et d’équipements impliquant des officiels de hauts rangs.

1978 – ISKANDERIYA LIH ? (Alexandrie pourquoi ?)
Avec Mohsen Mohiedine, Farid Chawki, Naglaa Fathi
1942. Tandis que les troupes de Rommel se rapprochent d’Alexandrie, un jeune étudiant s’évade à travers le théâtre et le cinéma. Rêvant d’Hollywood, il met en scène ses propres pièces et revues théâtrales.

1982 – HADDUTA MISRIYA (La mémoire)
Avec Mohsen Mohiedine, Oussama Nadir, Leila Hamada, Ragaa Hussein
Un réalisateur égyptien tourne la séquence finale de son dernier film quand un infarctus le terrasse. Pendant l’opération, des flash-back surgissent, où l’enfant qu’il a été lui reproche d’avoir trahi ses idéaux de jeunesse.

1989 – ISKANDERIYA, KAMAN W KAMAN (Alexandrie encore et toujours)
Avec Youssef Chahine, Amr Abdel Guelil, Hussein Fahmy
A la suite d’une rupture violente avec Amr, son acteur fétiche, un réalisateur égyptien est contraint de se remettre en question.

1994 – AL MOHAGER (L’émigré)
Avec Khaled El Nabawi, Yousra, Michel Piccoli
Il y a trois mille ans, Ram, fils d’une tribu très pauvre vivant sur une terre aride, rêve de transformer sa vie…

1997 – AL MASSIR (Le destin)
Avec Nour El Cherif, Laïla Elwi, Mahmoud Hemida, Khaled El Nabawi
Au 12ème siècle en Andalousie arabe, le philosophe Averroès établit des préceptes qui vont influencer la pensée humaine jusqu’à nos jours. Voulant amadouer les intégristes, le Calife El-Mansour ordonne l’autodafé de tous les écrits du philosophe.

2004 – ISKANDERIYA-NEW YORK (Alexandrie… New York)
Avec Mahmoud Hemida, Ahmed Yehia, Yousra El Lozy, Hala Sedki
A l’occasion d’un hommage qui lui est rendu à New York, un réalisateur égyptien retrouve son amour de jeunesse.

Né le 25 janvier 1926 à Alexandrie en Egypte, Youssef Gabriel Chahine s’éteint le 27 juillet 2008 au Caire. Après un enseignement primaire chez les Frères des Ecoles Chrétiennes, puis dans une école anglaise jusqu’au baccalauréat, Youssef Chahine reste un an à l’université d’Alexandrie avant de partir pour les Etats-Unis. Il va y suivre pendant deux ans des études de cinéma et d'arts dramatiques au Pasadena Play House, près de Los Angeles. Revenu en Egypte en 1948, il travaille avec Gianni Vernuccio, un documentariste italien né en Egypte, puis avec l'opérateur Alvise Orfanelli, « pionnier du cinéma égyptien », qui lui ouvre les portes de la production.

Youssef Chahine tourne son premier film, « Papa Amine », en 1950, puis réalise quelques comédies musicales, parfois pour des raisons "alimentaires" comme il le dit lui-même, et aborde plusieurs autres genres cinématographiques, de la comédie au mélodrame. En 1951, il participe pour la première fois au Festival de Cannes avec son film « Le fils du Nil ». Sept ans plus tard, il réalise « Gare centrale », l'un de ses chefs-d'œuvre dans lequel il prouve également ses talents d'acteur.

Lié avec l'écrivain Abdel-Rahman Charkawi depuis « Djamila l’Algérienne » (1958), Youssef Chahine va porter à l'écran son roman « La terre » en 1969. Ce film, de même que « Le choix » (1970) et « Le moineau » (1973), témoigne de la mise en place de l'Egypte contemporaine autour de moments-clés comme la colonisation britannique, le départ de Farouk, l'arrivée de Nasser ou la défaite de la guerre des six jours.


En 1979, il obtient l'Ours d'Argent et le Grand Prix du Jury au Festival de Berlin pour « Alexandrie pourquoi ? », premier volet de ce qui deviendra par la suite une série autobiographique complétée par « La mémoire » (1982), « Alexandrie encore et toujours » (1989) et « Alexandrie… New York » (2004). En 1984, il réalise « Adieu Bonaparte », sa première coproduction avec la France, qui le consacre définitivement dans le monde entier par sa sélection en compétition au Festival de Cannes.

Le retour vers un certain "cinéma intimiste" se fait en 1986 avec « Le sixième jour », dans lequel Youssef Chahine dirige la chanteuse populaire Dalida. En 1992, Jacques Lassalle lui propose de mettre en scène une pièce de son choix pour la Comédie-Française. Il choisit d’adapter « Caligula » d'Albert Camus et la pièce connaît un immense succès public. La même année, Youssef Chahine commence à écrire « L'émigré », une histoire inspirée du récit biblique sur Joseph, fils de Jacob, qu'il rêve de réaliser depuis les années 50 et dont il achève la réalisation en 1994. Ce film sera interdit en Egypte du fait d'intégristes auxquels il répond quelques années plus tard par l'entremise de son 33ème long métrage, « Le destin », qui sera présenté au Festival de Cannes en 1997 et obtiendra le Prix du Cinquantième Anniversaire. Après avoir tourné le film humaniste « L'autre » en 1998, la comédie musicale « Silence, on tourne » en 2001, Youssef Chahine réalise en 2007 son trente-huitième et dernier long métrage : « Le chaos ».

Président : Son Altesse Royale le Prince Moulay Rachid
Vice Présidents Délégués : M. Nour-Eddine Saïl et M. Faïçal Laraïchi
Directrice du Festival : Madame Mélita Toscan Du Plantier
Administrateur trésorier : M.Azeddine Benmoussa
Secrétaire Général : M. Jalil Laguili

ADRESSE A MARRAKECH
Angle Boulevard Mohammed VI Rue Ibn El Kadi
BP 14212 Riad Larrouss
Marrakech - Maroc
Tél : + 212 24 43 24 93/94 Fax : + 212 24 43 25 11
E-mail : ffifm@lafondation.ma

CO-ORGANISATION GENERALE ET DIRECTION ARTISTIQUE
Le Public Système Cinéma
40, rue Anatole France
92594 Levallois-Perret cedex – France
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Marrakech : Destination "Bien être"


Marrakech détient depuis la nuit des temps le secret de rites ancestraux de beauté, qu’elle a su garder jalousement en les dissimulant dans de discrètes maisons et de luxueux hôtels aux quatre coins de la cité. Il suffit de pousser la porte de l’une d’entre elles pour découvrir un monde de délectation extrême où notre bien-être est à l’honneur.

Les « Bains de Marrakech », Riad authentique situé au cœur du quartier de la Kasbah, à quelques dizaines de mètres des mystérieux tombeaux Saadiens, prodigue des soins typiquement orientaux dans un cadre d’un grand raffinement. Au programme : hammam, gommage, massage, rites issus des coutumes marocaines…

On retrouve également ces méthodes de mise en beauté traditionnelles à « l’Isis Spa », caché en pleine médina, non loin de la place mythique de Jemaa el Fna. Il y règne une délicieuse atmosphère zen propice à la détente, qui laisse rêveur après avoir expérimenté un soin à l’inspiration marocaine ou asiatique.

Le « Riviera Spa », véritable havre de paix, correspond à la même philosophie grâce à des soins prodigués à l’aide de produits naturels : gommage au savon noir, enveloppement au ghassoul et à l’eau de rose, soins du corps aux huiles essentielles...

A un autre niveau, nombreux sont les hôtels qui sont pourvus de véritables Spas dans le but de contenter une clientèle de plus en plus stressée par le mode de vie occidental, à la recherche de destinations « bien-être ».

Ces établissements, aux concepts modernes ou traditionnels, finissent d’ériger Marrakech en capitale de la relaxation, déjà tellement séduisante par la clémence de son climat à longueur d’année et les nombreux atouts qu’elle possède en tant que destination-phare du tourisme au Maroc.

Des cures d’amincissement sont également au programme de centres spécialisés comme le Starvac qui propose un appareil révolutionnaire aux vertus remodelantes ; ainsi que de nombreux instituts de beauté aux promesses de remise en forme et de rajeunissement grâce à des méthodes qui se situent à la pointe de la recherche. On murmure même que certains viendraient dans la Ville Ocre spécialement pour subir un implant des cheveux, intervention qui se trouve être beaucoup moins onéreuse qu’en Europe et d’excellente qualité, à l’instar de l’orthodontie.

Ainsi, grâce à une offre qui va du simple hammam au relooking intégral, Marrakech est devenue une destination « bien-être » de premier ordre, ce qui lui confère un attrait supplémentaire, et pas des moindres.


Source : Made in Marrakech

lundi 13 octobre 2008

Marrakech : Le Festival international du film se tiendera du 14 au 22 novembre 2008

La 8ème édition du Festival International du Film de Marrakech (FIFM) aura lieu du 14 au 22 novembre prochain, a annoncé la Fondation du FIFM.


Marrakech : Le Festival international du film se tiendera du 14 au 22 novembre 2008
Au cours de cette édition, le FIFM, placé sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI, un hommage sera rendu à plusieurs cinématographies: "40 ans de cinéma britannique", "la Russie d'Andrei Konchalovsky", "50 ans de cinéma marocain" et "le meilleur de Youssef Chahine", indique un communiqué de la Fondation.

Après le Maroc, pays honoré en 2004, l'Espagne mise à l'honneur en 2005, l'Italie en 2006 et l'Egypte en 2007, le FIFM rendra un hommage cette année à la Grande Bretagne, une cinématographie singulière qui a su résister face à la domination du cinéma hollywoodien grâce à un particularisme des genres qu'il s'est approprié.

Une rétrospective d'une quarantaine de films, depuis "If" de Lindsay Anderson (Palme d'or en 1968) jusqu'au film de Ken Loach "Le vent se lève" (Palme d'or 2006) sera proposée aux festivaliers, souligne-t-on .

"La Russie d'Andrei Konchalovsk", une rétrospective qui sera reprise en janvier 2009 à Paris, est l'occasion pour le FIFM de montrer, au travers de la talentueuse carrière internationale d'Andrei Konchalovsk, la spécialité de son regard tendre, ironique et lucide sur "sa" Russie. Sept films seront proposés aux festivaliers, dont son dernier opus "Gloss".

"50 ans de cinéma marocain" fêtera cette année l'expérience de Mohamed Osfour qui a rompu aux différents métiers de cinéma grâce à ses nombreuses collaborations internationales tournées au Maroc. Son premier long métrage "le fils maudit" est une expérience menée après quelques courts-métrages qui parodiaient les grands genres cinématographiques.

Cette initiative va être fêtée cette année comme le point de départ de la filmographie marocaine parvenue à ses cinquante ans (1958-2008), ajoute le communiqué.

Cette 8ème édition tiendra à saluer l'immense talent du cinéaste disparu récemment, Youssef Chahine, présent dès la première année du Festival, et auquel le FIFM avait déjà rendu hommage en 2004. Un ami du Festival, qui a toujours soutenu par sa présence et celle de son travail, le FIFM, rappelle le communiqué de la Fondation.

Dans le cadre de cet hommage posthume, le Festival projettera 11 films égyptiens.

Le portail du Festival International du Film de Marrakech

Source : Marrakech News

L'agence Marrakech Dreams présente au Salon du Mariage Oriental 2008

Marrakech Dreams : le spécialiste français de l’organisation de réceptions marocaines de prestige.

Avec près de 270 000 mariages par an (insee), le mariage a toujours le vent en poupe. Pour sortir des sentiers battus, l’agence Marrakech Dreams propose des réceptions sous le signe des mille et une nuits.



Rkia Aït Blal

A quoi rêvent les futurs mariés pour leur réception ? Un mariage qui ressemble à un conte des mille et une nuits.

Un rêve ? Une possibilité qui est dorénavant offerte par Marrakech Dreams. Cette agence française s’est spécialisée dans l’organisation de mariage haut de gamme à Marrakech et dans toute la région du Haut-Atlas.

Le but affiché est de sublimer et mettre en scène la réception du mariage. Pour cela, la directrice Amina Eltmali a acquis un savoir faire tant dans la création d’événements que dans l’organisation de la logistique (avion, hôtel, relations avec les prestataires). « Les mariés veulent à la fois un mariage unique, original, mais sans tomber dans le tape à l’œil » précise Amina Eltmali.

« Il faut que cela ressemble à un voyage » ajoute-elle. L’agence prend grand soin de sélectionner les meilleurs partenaires pour chaque catégorie de service. Aussi pour la mariée, l’agence propose des robes haute couture d’inspiration marocaine. Du côté de la mise en beauté, la future mariée pourra bénéficier des meilleurs produits marocains dont la fameuse huile d’argan.

Source : www.toutpourlesfemmes.com

vendredi 10 octobre 2008

Restaurant "Le Dar Zellij". Une architecture extraordinaire !


Restaurant Grastronomique Marocain dans un exceptionnel Riad du XVIIème siècle.

Dar Zellij vous invite à déguster une excellente cuisine traditionnelle avec tagines, couscous et pastillas... soit dans le patio, dans les salons ou bien sur la terrasse, et à Profiter des brunchs tous les samedi et dimanche. Une adresse à ne pas manquer. ambiance à la fois raffinée et élégante, mais également simple et chaleureuse. La cuisine se veut inventive et apprête tout aussi bien les saveurs gastronomiques françaises que les plus fins produits du terroir marocain. De grandes baies vitrées en font un lieu agréable et très lumineux, et permettent par ailleurs, aux beaux jours, d'accéder à une superbe terrasse.



Dar Zellij
Tél.
Fax.
Web.
+212(0)24 38 26 27
+212(0)24 37 54 41
www.darzellij.com
Adresse. 1, Kassour Sidi Ben Slimane - Marrakech

mercredi 8 octobre 2008

Le Murano aux portes du désert marocain

C’est sur les traces du Murano de Paris que l’hôtel Murano Resort Marrakech a été créé. Niché au cœur d’un parc de trois hectares, ce complexe est composé de cinq luxueux pavillons d’architecture marocaine avec des fenêtres en ogives et des murs en terre rouge.

Situé dans la Palmeraie, dans un parc de trois hectares, le Murano Oriental Resort allie l’architecture marocaine au design contemporain.

Divisé en cinq villas, il abrite 37 chambres (chacune avec cheminée et terrasse) et se positionne donc comme un boutique-hôtel, le seul à ce jour à Marrakech.

Il propose également quatre suites “top floor” de 150 m2 sur les toits ainsi qu’un Spa de 1000 m2 tout juste ouvert.

Tous les espaces sont utilisés à bon escient, comme les jardins comprenant un mobilier tout de rouge et de blanc, à l’image de l’hôtel. La piscine de 32 mètres est construite en émaux rouges - couleur de la ville de Marrakech - et le bar extérieur est éclairé en soirée par la même palette de couleurs. Cet hôtel est la promesse d’un grand classique.

Un endroit féerique pour apprécier un petit-déjeuner ou un apéritif. Confort et design sont les maîtres mots des chambres qui affichent une décoration minutieuse : murs blancs, fines tentures, salles de bain en marbre noir, boiseries traditionnelles et lits à baldaquin.

Prendre soin de soi n’a jamais été aussi facile : dans le luxe, la volupté et l’élégance, le Murano fera de vous un homme ou une femme heureuse. Tout simplement. On apprécie son raffinement, son « charisme » et ses surprises. C’est l’endroit en vogue de la ville rouge !

www.muranoresort.com

jeudi 2 octobre 2008

Une première au Maroc : la naissance d’une école de cinéma et de l’audiovisuel dans la ville ocre

Marrakech - Comme Cannes ou Venise, Marrakech porte en elle cette dimension mythique que le cinéma sait reconnaître et sublimer.


Pourquoi Marrakech ?

Après la création et le succès du festival International du Film de Marrakech, la ville ocre abrite l’ Ecole Supérieure des Arts Visuels de Marrakech qui forme des professionnels du cinéma, de l’audiovisuel et de la communication visuelle.

La ville est à mi-chemin entre les studios de cinéma à Ouarzazate et les plateaux de télévision à Casablanca. Marrakech est un carrefour de toutes les influences culturelles du Maroc.

L’ESAV Marrakech a l’ambition d’être non seulement un espace privilégié pour les professionnels marocains et étrangers mais aussi un nouveau lieu de rencontres, d’échanges et de débat autour du cinéma et de la création visuelle pour élargir l’horizon culturel de la ville de Marrakech.

Horizons pour le développement du Maroc

Une structure au diapason de l’évolution du paysage audiovisuel du Maroc. L’ESAV Marrakech répond à la forte demande en ressources humaines, professionnels qualifiés de haut niveau et fait naître une nouvelle génération d’artistes et de professionnels du cinéma, de la télévision et de la communication visuelle au Maroc : les acteurs de l’avenir.

Qui sont les fondateurs de l’ESAV Marrakech?

Ce projet est né de deux expériences de gestion de lieux culturels à Marrakech :

Susanna Biedermann et Max Alioth sont les fondateurs de Dar Bellarj, Fondation qui soutient la culture vivante au Maroc. Depuis 1999, ils dirigent et animent un espace d’exposition, d’accueil d’évènements culturels et d’activités artistiques en direction des enfants. Dar Bellarj est située au cœur de la médina et héberge, en attendant la fin de la construction de l’école, la première promotion de l’ESAV.

Après avoir créé et dirigé deux salles de cinéma à Paris, Vincent Melilli a dirigé l’Institut Français de Marrakech de 1998 à 2002 où il a créé des ateliers de cinéma. Il a occupé le poste d’Attaché audiovisuel et de Directeur de l’Institut Français du Royaume-Uni à Londres jusqu’en 2004. Aujourd’hui, il est directeur général de l’école.

Susanna Biedermann et Max Alioth fondateurs de Dar Bellarj. Susanna Biedermann PDG de l'esav de Marrakech. Vincent Melilli (à droite) directeur géneral de l'ESAV
Susanna Biedermann et Max Alioth fondateurs de Dar Bellarj. Susanna Biedermann PDG de l'esav de Marrakech. Vincent Melilli (à droite) directeur géneral de l'ESAV
Quelle structure juridique ?

Une société anonyme de droit marocain a été créée. Le capital est réparti de la manière suivante : 80% pour la fondation Dar Bellarj (Suisse) et 20% pour l’Université Cadi Ayyad de Marrakech.

L’université Cadi Ayyad de Marrakech a permis à la S.A ESAV Marrakech d’acquérir le droit au bail pour quarante ans, d’un terrain domanial dont elle avait l’usage.

Au terme de ce bail les locaux et équipement de l’école reviendront à l’Etat marocain.

La future école esav de Marrakech

La maquette de l'établissement esav de Marrakech
La maquette de l'établissement esav de Marrakech



ASPECTS TEMOIGNANT DE L’APPROCHE QUALITE
ET D’UNE MISSION DE SERVICE PUBLIC


Déjà un succès à applaudir :

L’école a sélectionné pour cette première rentrée des classes un potentiel humain certain, de jeunes talents constituant une première promotion de choc. Le concours d’entrée ayant eu lieu en juillet 2006 a sélectionné 18 élèves : 17 marocains venus de différentes villes du royaume (1 de Rabat, 3 de Casablanca, 1 de Salé, 1 de Tata, 1 d’Agadir, 1 de Meknès, 1 de Fès, 1 de Tanger, 1 de Taourirt, 6 de Marrakech) et 1 élève camerounais.

Première promotion de l'esav de Marrakech - Photo : Michel Roussel
Première promotion de l'esav de Marrakech - Photo : Michel Roussel
Une Entreprise créée et dirigée avec professionnalisme afin de lui garantir la durabilité

L’attention et la vigilance visent la réussite du projet initialement culturel et pédagogique :

L’ESAV Marrakech n’est pas une société commerciale, le but n’étant pas de faire des profits. En effet, l’étude et l’investissement financiers doivent non seulement permettre de couvrir le coût de l’équipement en matériel, mais aussi pallier la lourdeur des charges comme l’importance du coût de l’équipe pédagogique, essentiellement étrangère (pas d’enseignants qualifiés sur les disciplines de l’ESAV Marrakech au Maroc).

Déjà la Fondation Dar Bellarj (Suisse) investit une enveloppe budgétaire de 50 millions de dirhams (5 millions d’euros) sans attendre le retour de son investissement. Ensuite, des financements complémentaires sont en cours de négociation auprès de structures institutionnelles et de partenaires privés afin d’inscrire ce projet dans le respect de ses ambitions de départ.

Une équipe pédagogique disciplinaire qualifiée
Des enseignants de l’université Cadi Ayyad de Marrakech
Des professionnels marocains
Des professionnels étrangers de renommée internationale

Ph : Ali Messaoudi
Ph : Ali Messaoudi
Des partenaires pédagogiques fiables accompagnent le projet

Université Cadi Ayyad
INSAS de Bruxelles
Ecole supérieure d’audiovisuel de Toulouse
Ecole supérieure des beaux arts de Genève
London film School

L’ESAV Marrakech est parrainée par des experts des arts visuels

Claude Miller
Abderrahmane Sissako
Wim Wenders

Fonctionnement du Fonds de bourse

Par souci d’équité, un Fonds de bourse a été créé pour aider les étudiants à faible revenu.

La collecte :

Elle se fait par le biais de l’association les Amis de l’ESAV Marrakech (Paris), la Fondation Dar Bellarj (Marrakech), la Fondation Dar Bellarj (Bâle). Les sommes collectées permettent de couvrir les frais de scolarité de cette promotion sur toute la durée du cursus. Les bourses peuvent être complètes ou partielles.

L’association Les Amis de l’ESAV Marrakech (Paris) peut délivrer un certificat CERFA permettant une déduction fiscale.

La distribution :

Une commission « fonds de bourse » autonome statue sur le montant des bourses. Elle prend en compte le revenu des familles, le nombre d’enfants à la charge de la famille, l’éloignement de l’étudiant par rapport à sa ville d’origine, le classement de l’étudiant au concours d’entrée.

Une première au Maroc : la naissance d’une école de cinéma et de l’audiovisuel dans la ville ocre
Cursus, concours, conditions d’accès, formulaire d’inscription

Voir : www.esavmarrakech.com

Contacts :

Informations générales : info@esavmarrakech.com
Téléphone: + 212 (0) 24 44 30 26