dimanche 31 mai 2009

Marrakech Art & Déco Shopping Festival 2009


Le Marrakech Art & Déco Shopping Festival 2009 se veut un événement Festif, qui attends plus de 100 000 festivaliers, et qui aura pour mission de positionner la ville de Marrakech comme la capitale de l’artisanat, de l’art et de la décoration.

A ce titre, Le Marrakech Art & Déco Shopping Festival 2009 sera l’occasion pour les artisans, les créateurs et autres commerçant Marocains de vendre leurs produits à des prix ‘Spécial Festival’ avec des réductions officielles de 20%, 30%, 40%...

Il sera ainsi l’occasion pour tous les opérateurs économiques de la ville de dynamiser leurs activités, comme il sera également l’occasion pour les touristes nationaux et internationaux de venir à Marrakech se divertir en joignant l’utile à l’agréable.

Le Marrakech Art & Déco Shopping Festival 2009 s’articulera autour de 2 événements Majeurs :

1/ Les Shoppings Days :
Ils se dérouleront sur toute la durée du festival avec des expositions ventes à des prix promotionnels partout dans la ville chez tous les commerçants, artisans et créateurs participants.

2/ La quinzaine Plaisirs-désirs :
Un passeport du festivalier donnant l’accès à une multitude d’activités, de loisirs, de découvertes avec des promotions sur l’hébergement, la gastronomie, les Spas et le Night clubbing…. Ainsi que des scènes artistiques quotidiennes gratuites sur les quatre lieux phares de la ville (la médina, le Plazza, le Marjane square et Sidi Ghanem).
Prix
Passeport du festivalier: 200Dhs en vente sur place (médina, Plazza, Marjane square et Sidi Ghanem).

Source : Made in Marrakech

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Festival National des Arts Populaires de Marrakech


Cette 44ème édition du Festival National des Arts Populaires de Marrakech aura pour thème : "Rêves et Réalité au Palais Badii"

Organisé pour la troisième année consécutive par la Fondation des Festivals de Marrakech, qui conserve son ambition d’innover dans l’art et la manière de promouvoir, sauvegarder et valoriser le patrimoine oral ancestral du Maroc.

Enthousiasmée par le bilan positif de l’édition précédente, et cernée par le devoir d’ être encore plus performant, la Fondation innove dans la programmation artistique du festival et la mise en scène du show du patrimoine.

Nouveautés :
8 jours d’évènement au lieu de 6 et 8 scènes de spectacle : Palais Badii, Place Bab Ighli, et les scènes de quartiers « Massira, M’hamid, Sidi Youssef Ben Ali, Bab Doukkala, Bab Lakhmis et place Harti ».


Aperçu du Programme

- Soirée du Vendredi 17 juillet : annonce de l’événement, le long du boulevard Mohamed V avec une belle parade aux sons des instruments et aux chants et danses des troupes populaires participantes au festival.

- Samedi 18 juillet : ouverture officielle du festival le par le grand show du patrimoine au Palai Badii sous le thème « Rêves et Réalité au Palais Badii » avec une mise en scène plus créative faisant appel aux techniques modernes du son et lumières.

- La grande scène ‘Bab Ighli’ accueillera quatre spectacles grandioses avec des artistes de renom et une programmation artistique riche mettant en avant la diversité musicale du royaume et du peuple marocain. Ainsi, les genres musicaux populaires : Amazigh, Hassani, Raï, Chaâbi et l’art pop nouvelle génération, seront à l’honneur

- Les 6 scènes de quartiers seront animées par des artistes et groupes des arts Chaâbi, Gnaoui, Hassani , Amazigh, Raï et les arts traditionnels Marrakchis avec Tkitikat et Houariates.

- Samedi 25 juillet : clôture du festival dans l’enceinte du palais Badia.


Prix
entrée: entre 100Dhs et 150Dhs

Source: Made in Marrakech

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lundi 11 mai 2009

Alain Capouillet expose à Sidi Ghanem



Du Mercredi 06 Mai 2009 au Dimanche 10 Mai 2009
ZENITUDE 473, Sidi Ghanem Quartier Industriel
40 000 Marrakch

Description

Tout à commencé à mon arrivée au Maroc le 1er mai 2004 Une première visite à la Médina de Rabat sous un soleil radieux et une lumière surnaturelle, envoûtante. Une grande histoire d’amour est née. Il ne me restait plus qu’à préparer ma palette et mes pinceaux pour essayer d’honorer humblement tout ce que le ciel m’offrait. Tant de couleurs, tant de lumière, ma palette serait elle assez grande? Je me donne corps et âme pour remplir cette mission. Et c’est avec un immense plaisir, que chaque jour je peins le Maroc que j’aime plus que tout au monde. Je ne souhaite qu’une seule chose,
c’est que ce plaisir et cet amour,je puisse les partager avec vous..
Alain CAPOUILLIET
http://www.marrakechnews.com/file/49659/

Source : Marrakech News

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dimanche 10 mai 2009

Fnaïre



Fnaïre (prononcer Fna-yer signifiant lanterne en langue arabe) est une formation de rap marocain formé en 2002 entre 4 musiciens originaires de Marrakech. Cette formation a pu conquérir le public marocain a été consacré comme le meilleur groupe dans la catégorie hip-hop à l’édition 2004 du Festival du Boulevard des jeunes musiciens. Fnaïre fusionne mélodies traditionnelles marocaines en empruntant parfois la “Dakka Marrakchia”, une tradition musicale ancestrale ... avec du beat-rap (ce rap est appelé taqlidi).

Fnaïre
Fnaïre(prononcer Fna-yer signifiant lanterne en langue arabe) est une formation de rap marocain formé en 2002 entre 4 musiciens originaires de Marrakech. Cette formation a pu conquérir le public marocain a été consacré meilleur groupe dans la catégorie hip-hop à l’édition 2004 du Festival du Boulevard des jeunes musiciens.

Fnaïre fusionne mélodies traditionnelles marocaines en empruntant parfois la “Dakka Marrakchia”, une tradition musicale ancestrale ... avec du beat-rap (ce rap est appelé taqlidi). Les intonations de la musique de Fnaïre évoquent le plus souvent une fluidité de sensualité vibrante d'onirisme intime et d'arrangements savants. D'une rare élégance instrumentale et poétique, l'art de cette formation se révèle tout aussi recommandable et vaporeux.

Parcours

Fnaïre apparaît sur scène pour la première fois lors d'une série de concerts en 2002 au profit de l'Association de lutte contre le sida sur la place Jemaâ El Fnaa. Lors de ce même concert, les musiciens dédient au public un morceau dédié à leur ami Anas décédé : Mohcine avait les larmes aux yeux en chantant. Le lendemain, plusieurs restaurateurs de Jemaâ El Fna ont présenté aux membres du groupe leurs condoléances. Ils jouent aussi pour la première fois Bahjaoua, qui devient le titre phare de leur premier album.

Le groupe conserve son identité artistique puisque Mouhssine Tizaf détient son propre label discographique : « TIZAF », audiovisuel production distribution (TIZAF a.v.p.d) qui produit en 2004 le premier album intitulé Laftouhe.

En 2006, Fnaïre participe au festival Timitar d'Agadir.

Le groupe connu pour être l'un des meilleurs spécialistes des musiques "rap", "hip-hop" et chaâbi se réclame d'une identité marocaine en puisant leurs paroles de la langue amazighe. Mais il se veut ouvert sur les autres cultures.

Du 22 au 28 mai 2008 avec Nass El-Ghiwane ils font un périple musicale en France pour y effectuer une tournée qui les mènera successivement à Asnières (banlieue parisienne), Paris, Mulhouse, Nice et Bordeaux. Après le succès "Attijariwafa Bank", sponsorise une tournée des deux célèbres groupes avec la jeune artiste marocaine Cheba Maria, Ils donnent également un concert le 29 mai 2008 à Bruxelles.

A la suite du décès d'Hicham Belkacem (DJ Belqas), le groupe s'est produit en hommage à leur ami trop tôt disparu au Maroc Hit Parade, qui s'est déroulé à Rabat le 21 juin 2008.

Fnaïre
Membres et personnalités autour de cette formation

Les musiciens sont :

* Khalifa Mennani : mc
* Achraf Aarab : mc
* Mouhssine Tizaf : chanteur, compositeur.
* Abel Damoussi : chanteur
* DJ Belqas : DJ (décédé le 15 juin 2008)

Extraits d'interview : Fnaïre, symbole du rap traditionnel au Maroc par Hassan Benmehdi

L’essence de notre rap traditionnel n’est autre que le sens des paroles, le sens des textes qui tournent autour d’un seul message, à savoir reconnaître avec fierté son identité marocaine, ses origines et sa culture. Les sujets sont divers, dont les problèmes des femmes, l’amour pour sa patrie, la croyance en un avenir meilleur de notre pays… Contrairement à certains, d’ailleurs nombreux, qui véhiculent un discours pessimiste aux jeunes Marocains les poussant à quitter le pays, parfois au prix de leur vie… Fnaïre leur dit tout simplement qu’une dose d’optimisme est toujours nécessaire pour avancer. Ce n’est pas de l’utopie, mais nous pensons que le Maroc a besoin de ses jeunes pour évoluer, progresser et changer. C’est notre credo, nous y croyons fermement.

Caractéristiques

Fnaïre métisse la musique traditionnelle marocaine et le hip-hop américain. Ce groupe a pour particularité d'offrir leur nouvelle vision du rap traditionnel en harmonisant des genres de musiques à priori incompatibles, et Fnaïre balaye tous les préjugés. Il mixent sans complexe rap et des sons de chaâbi marocain, look XXl et "bahjaoui attitude" dans ce qu'ils appellent eux-même du "hip hop traditionnel ".

Fnaire - Yed l7na

Discographie

* L'Ftouhe : 2003
* Yed El Henna: 2007

Liens internets et sources

* Site officiel
* Fnaïre sur Myspace
* http://stylefnaire.skyrock.com/
* http://best-of-fnaire.skyrock.com/
* Fnaïre. Le rap taqlidi Par Hassan Hamdani, envoyé spécial à Marrakech pour TelQuel Magazine.
* http://best-of-fnaire.skyrock.com/

Source : Marrakech news

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L'artisanat de Marrakech



Abdelhafid BOUFETTAL

Marrakech, ville aux mille facettes, se découvre avec patience, pour ne manquer aucun aspect de ses secrets les mieux cachés. Il est avant tout un pays au riche passé, où les traditions sont fortement ancrées.

L'artisanat de Marrakech
L'art marocain peut être classé en deux catégories : le citadin et le rural. L'art citadin est imprégné de traditions importées d'Orient ou encore de l'Espagne musulmane. L'influence orientale se voit notamment dans les tapis, les étoffes et les broderies alors que l'apport andalou se perçoit encore dans les arts de la céramique, du métal, du bois et du cuir. Les arts ruraux ou berbères ont un aspect plus "primitif". Les objets ont souvent une fonction utilitaire: mobilier, outils, ustensiles indispensables à la vie quotidienne et quelques parures pour les fêtes de la communauté

L'artisanat à Marrakech prend ses racines dans les traditions. Chaque génération lui transmet une nouvelle créativité et l'élève au niveau des industries culturelles. Les artisans de Marrakech ne sont pas simplement les conservateurs d'un acquis culturel mais enrichissent et adaptent cet héritage aux besoins de la société contemporaine.

En effet, L'artisanat à Marrakech est bien riche et vivant. De même, Les produits de l'artisanat marocain sont l'une des caractéristiques fondamentales de la vie quotidienne marocaine. Alors, Bienvenue dans un monde où la matière, abondante ou précieuse, n'attend que la main de l'artisan pour se révéler ...

Le bois, le métal, le cuivre, la laine, la pierre et l'argile durant plusieurs siècles. Adapté à la vie moderne, la production artisanale de Marrakech côtoie les traditions, offrant ainsi une large variété de produits allant de l'art en filigrane jusqu'aux plus simples ustensiles.

LA MAROQUINERIE :

Marrakech possède un nombre incalculable de type de maroquinerie, dont la plupart émanant des plus anciennes traditions. A Fès et Marrakech, des quartiers entiers sont réservés aux tanneurs :Bagagerie, sous main avec accessoires, babouches, poufs, pots en argile recouverte de cuir, ceinture, selles.

LE METAL :

La ménagère de Marrakech utilise en grande majorité les produits locaux en cuivre. Le métal est également utilisé, bougeoirs, appliques, moucharabiehs, cadre pour miroir sont les articles que l'on retrouve à Fès, Marrakech et Safi.

LE BOIS:

L'utilisation du bois comme matériel de construction est une tradition très répandue et qui remonte à l'époque Idrisside, donc autour du VII è siècle. En fait, on utilise le bois pour la construction de mosquées, de monuments, de maisons et d'édifices. Les sculpteurs transforment le bois en vrai chefs d'oeuvres comportant des motifs riches et originaux. En plus de sa beauté captivante, le bois dégage un parfum agréable dans la pièce qu'il compose.

Le travail du bois est considéré un art raffiné à Marrakech qui demande beaucoup de minutie et de patience. Le travail du bois est possible grâce à la présence d'arbres tels que le cèdre, le pin, le hêtre et l'olivier. Plusieurs arbres sont présents au Maroc surtout au niveau des vallées et des montagnes.

Les ébénistes et artisans marocains travaillent surtout le bois de cèdre. Essaouira à quelques Km de Marrakech, spécialisée dans la marqueterie ; petites boîtes, coffre, tables sur pieds, damiers, échiquiers sont faits en bois de thuya décorés de bois d'ébène et de citronnier. Fès et Tétouan sont spécialisées dans la peinture sur bois appelée Zouak. Fès et Meknès sont renommées par leurs moucharabiehs, travail d'une grande finesse où les petits éléments de bois tournés sont assemblés formant ainsi des compositions géométriques très sophistiquées.

LE TAPIS :

L'origine de la tapisserie remonte à la nuit des temps. Utilisé à la fois comme objet de protection contre le froid mais aussi comme objet d'art à part entière, on peut considérer qu'à Marrakech deux familles de tapis se distinguent : les tapis citadins (soumis à l'estampillage), de Rabat ou de Médiouna, et les tapis ruraux, du Moyen Atlas, du Haut Atlas et du Haouz de Marrakech. L'art du tapis s'est enrichi de toutes les créations dues aux artisans des différentes populations et des multiples dynasties qui se sont succédées. Ainsi, chaque tapis, même contemporain, est à la fois porteur d'une tradition millénaire et oeuvre de création singulière. .

Chaque région marocaine confectionne des tapis possédant des caractéristiques propres. Variant selon les grosseurs et les couleurs, la fabrication de tapis est une tradition populaire au Maroc. Seulement les meilleurs matériaux sont utilisés et cela justifie, en partie, le coût élevé de ces oeuvres. Les tapis noués sont des plus populaires et proviennent d'un peu partout. Ce qui les rendent tous originaux et intriguant est la signification des motifs qu'ils présentent.

CERAMIQUES :

L'argile de très bonne qualité sera travaillé jusqu'à la disparition des impuretés pour former des vases, jarres, pots, plats et plateaux. Ces poteries sont généralement embellies par des teintes typiques de la région et des décorations florales ou géométriques. Les villes les plus réputées sont : Fès, Safi , Salé et Marrakech.

BRODERIE :

Les broderies bleu foncé de Fès et à Marrakech sont les plus courantes, celles de Rabat, Salé, Mekhnès, Azemmour et Tétouan sont aussi très répandues. Ces travaux sont exécutés avec beaucoup d'adresse utilisant pour la plupart les fils de soie de différentes couleurs. On les retrouve dans nappes, napperons, kaftans, tenue de soirée marocaine.

PIERRES SEMI-PRECIEUSES :

La pierre de Taroudant, utilisé pour la fabrication de boites ciselées avec des motifs géométriques. Les pierres à l'état brut : améthyste, quartz, manganèse sont souvent disposés le long de la route dans le Haut Atlas entre Marrakech et Ouarzazate.

VANNERIE :

Un métier 100% manuel, il offre une extraordinaire souplesse face aux besoins singuliers des clients. Paniers, vans, plateaux, boîtes, ces articles sont fait à la main dans presque tous les villages. Tant Dans le rif où les femmes arborent d'immenses chapeaux que dans les villes comme Fès, Marrakech où Salé.

BIJOUX:

Là aussi, il faut distinguer les bijoux citadins des bijoux ruraux. Les bijoux citadins sont généralement en or finement ciselé de motifs, floraux pour la plupart, très légèrement creusés, rehaussés de pierres précieuses souvent en cabochon (émeraudes, diamants, grenats, rubis très clairs dits de "Fès" et « Marrakech »), ils peuvent atteindre une grande magnificence. Ils sont surtout utilisés pour les femmes.

Le bijou pour celles-ci est un complément essentiel de leur tenue de fêtes. Les hommes, quant à eux, utilisent le plus souvent des bijoux en argent. Les bijoux ruraux, à la campagne, dans le Sud surtout, le goût pour la parure est très vif, et les bijoux berbères ont eux aussi leur somptuosité. Les plus beaux sont en argent, d'autres sont en bronze malgré cela ils gardent une grande noblesse. Ils sont d'une exceptionnelle pureté de lignes, avec leurs dessins géométriques et parfois quelques motifs floraux. La verroterie et la cire de couleur y remplacent souvent les gemmes et l'émail.

Outre la bijouterie de Marrakech, le travail des métaux comporte essentiellement la ferronnerie (emploi du fer pour la réalisation notamment de grilles, de fenêtres, de balcons), le damasquinage (originaire de Syrie, incrustation dans le métal des fils lisses ou torsadés en cuivre, en argent et en or), la dinanderie (pièces emboutées), et le travail du maillechort (alliage de cuivre, de zinc et de nickel, dont l'éclat blanc rappelle celui de l'argent). Les métaux utilisés dans tous ces métiers sont l'argent, le cuivre et leurs dérivés. La bijouterie en argent est surtout présente dans le sud, à Agadir, Taroudant, Tiznit, Goulimine, Laâyoune, et Essaouira où le métal se présente sous forme de boules ou de poudre.

La dinanderie et la ferronnerie se trouvent dans les villes, particulièrement à Fès, où elles participent à l'architecture des grands édifices : palais, mosquées... On peut également voir les dinandiers à l'ouvre dans les souks où ils vendent plateaux, lanternes rehaussées de verre coloré et récipients divers qu'ils ont ciselés ou damasquinés. Les motifs retrouvés sur les bijoux marocains sont inspirés par diverses influences culturelles qui coexistent au Maroc telles que l'orient, l'Afrique et l'Europe.

TEXTILE :

Le tissage de Marrakech fait son apparition au Maroc dès 1500 av. J.C. Depuis, le textile, servi par une grande diversité de matériaux, est le fleuron de l'artisanat à Marrakech.

Les différentes formes de l'artisanat du textile vont du simple tissage qui pare les corps, aux objets de décoration les plus raffinés. Les textiles des tribus marocaines sont parmi les plus éblouissants et les plus impressionnants du continent africain. Les variations rythmiques des motifs, les vibrations des couleurs, la variété des textures et le pouvoir qu'ils dégagent les rendent uniques en leur genre.

Les textiles citadins n'ont rien à leur envier : les belles broderies de Fès rivalisent avec celles de Rabat, Salé et Meknès ou encore Tétouan. Il est à noter que les tenues des femmes pour les fêtes (caftan) sont de véritables oeuvres d'art réalisées sur mesure et à la main de vrais artisans de Marrakech.

LA POTERIE :

La poterie est une des premières activités artisanales de Marrakech. La dualité entre l'héritage berbère, d'une part, et l'influence hispano-mauresque, d'autre part, se retrouve dans les techniques employées tout comme dans les motifs et les décors qui ornent les pièces d'argile. A Marrakech, cette tradition séculaire s'est élevée au rang d'un art rarement égalé.

On distingue trois catégories majeures : la poterie citadine, aux modèles fastueux, pour la plupart fabriqués à Fès, Safi et Salé et les deux poteries rurales du nord et du sud, toutes deux utilitaires, la première étant largement pratiquée par les femmes et la seconde par les hommes. Les trois principaux pôles de production de poterie et de céramique au Maroc sont représentés par Marrakech, Fès, Safi et Salé.

Architecture Artisanale

Les artisans de l'architecture traditionnelle perpétuent des traditions qui remontent, pour la plupart, à l'Espagne mauresque. Loin de céder à l'uniformisation, l'art traditionnel architectural a su conserver son identité. Ainsi la mosquée Hassan II de Casablanca, a su rendre hommage au talent de milliers d'artisans et assurer la reconnaissance de ces techniques ancestrales.

Les différentes formes artistiques de l'art arabo-musulman trouvent leur plein épanouissement dans l'architecture traditionnelle marocaine. En effet, l'architecture permet aux artistes et artisans de réaliser de magnifiques chefs d'oeuvre. Si les modèles de la ville ont tendance à envahir l'architecture des campagnes, le monde rural a une expression artistique qui lui est propre (maisons bleues de Chef-Chaouen). L'agencement des zelliges, du plâtre et du bois donne à la demeure citadine, une apparence de richesse exubérante. Par contre, ils confèrent aux kasbahs et aux autres gîtes ruraux une gaieté qui contraste avec l'austérité et la simplicité des matériaux utilisés.

Un large choix de ces produits est disponible sur le site www.marokech.com afin d'avoir un avant gout de l'artisanat de Marrakech.

Source : Marrakech news

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samedi 9 mai 2009

La directrice de l’agence Marrakech Dreams sera sur les ondes de Radio Soleil mercredi 13 mai à 11h


La Fondatrice de l’agence Marrakech Dreams sera présente le 13 mai sur les ondes de Radio Soleil (entre 11h & 12h) aux côtés de Rachid. Elle vous parlera un peu de son parcours, beaucoup de son activité, mais aussi & surtout de la création d’entreprise…

N’hésitez pas à appeler le standard de Radio Soleil mercredi prochain afin d’échanger avec nous !

Marrakech Dreams est une agence Française d’organisation de mariages & d’événements créée fin 2007, avec un positionnement assez haut de gamme.
Son principal rôle est d’accompagner les couples lors de l’organisation de leur cérémonie de mariage sur Marrakech & sa région (Essaouira, Ouarzazate). Elle sert avant tout d’interface entre les futurs mariés & les prestataires locaux.

Contact presse :

Amina ELTMALI
Directrice d’agence
Gsm : 06 69 61 66 79
231, rue Saint Honoré
75001 Paris
contact@marrakechdreams.com

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vendredi 8 mai 2009

Google à Marrakech



La compagnie leader du Web "Google" prendra part, pour la première fois au Maroc, du 12 au 14 mai courant à Marrakech, aux travaux de la seconde Ecole Internationale du Printemps (Système Répartis: METIS'2009), une manifestation à vocation scientifique et informatique, apprend-t-on lundi auprès des organisateurs.

Lors de sa participation à cet événement initié par l'association Al Khawarizmi de Génie informatique, en partenariat avec le Laboratoire Al Khawarizmi de l'Ecole Nationale Supérieure d'Informatique et d'Analyse des Systèmes (ENSIAS), ce leader informatique traitera de sa stratégie concernant les évolutions récentes dans le monde de l'Internet Mobile, ajoute-t-on de même source.

Initiée sous le thème "Architecture, Sécurité, Fiabilité", cette Ecole connaîtra la participation d'une palette d'experts, de spécialistes et de chercheurs dans le domaine de l'Internet et du Web, issus notamment du Canada, de France, du Royaume Uni, de Suisse et du Maroc.

Cette deuxième Ecole se fixe pour objectif de dispenser à un large public d'ingénieurs, de doctorants et de chercheurs, une formation sur les développements récents dans le monde de l'Internet et du Web.

Elle s'assigne pour mission également de sensibiliser la communauté des spécialistes (Chercheurs et Ingénieurs) en technologie de l'information à des thématiques de grande actualité telles que les "Architectures Orientées Service", "le Web Sémantique", "les Middleware pour le développement des nouvelles générations d'applications réparties" et "la Tolérance aux pannes et Sécurité".

Source : Marrakech News

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mardi 5 mai 2009

FIA-WTCC Marrakech: Nicola Larini remporte la 3ème étape


Le pilote Italien Nicola Larini, au volant de sa voiture Chevrolet Cruze, a remporté, dimanche sur le circuit de Marrakech, la troisième étape du Grand Prix International Automobile (FIA-WTCC) (Marrakech Grand Prix)

FIA-WTCC Marrakech: Nicola Larini remporte la 3ème étape
La deuxième place de cette compétition, disputée du 1er au 3 mai, est revenue au Français Yvan Muller (Seat Leon), ex-champion de la WTCC 2008, alors que le Britannique Robert Huff (Chevrolet Cruze) s'est adjugé la troisième place. La participation marocaine à cette compétition, une des trois Championnats du monde de la Fédération Internationale de l'Automobile (FIA), a été marquée par la performance de Mehdi Bennani, unique représentant du Royaume, auteur d'une 10è place convaincante devant de grosses pointures du sport automobiles mondial. Dans une déclaration à la MAP, Ali Horma, président du Marrakech Grand Prix, a fait part de la grande satisfaction des membres de la FIA, des participants et du staff technique de l'excellente organisation de ce Championnat, tenu dans de meilleures conditions. Sur la participation marocaine, Horma a tenu à rappeler que Bennani a été une source de fierté pour le Maroc après sa dixième place avec un chrono important, notant que ce jeune champion, qui participe pour la première fois à ce Championnat, dispose de tous les atouts pour réaliser de grands exploits lors des prochaines compétitions internationales. Et de poursuivre que cette compétition a connu une grande affluence de la part du public, venu découvrir de près cette discipline sportive. D'une longueur de 4.550m, le circuit urbain de Marrakech est labellisé par la FIA et répond aux normes et standards de sécurité de la Fédération. Cette compétition, dont la première journée fut consacrée aux essais sur piste, a connu la participation de grosses pointures du sport automobile international représentant la France, l'Italie, la Suède, l'Espagne, le Portugal, la Grande-Bretagne, le Brésil, l'Allemagne, la Russie, les Pays-Bas et la Suisse. L'étape finale de cette course s'est déroulée en présence notamment des ministres de l'Intérieur, Chakib Benmoussa, du Tourisme et de l'artisanat, Mohamed Boussaid, de l'Industrie, du commerce et des nouvelles technologies, Ahmed Chami ainsi que d'autres personnalités.

Source : Marrakech News

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dimanche 3 mai 2009

UN PEU D'HISTOIRE

Marrakech fut fondée en 454 de l'Hégire, correspondant à l'an 1062 de l'ère chrétienne, par Youssef Ibn Tachfin, premier souverain de la dynastie Almoravide.

Le nom de Marrakech vient du berbère "Amour" qui signifie "pays" et " Akouch" qui veux dire " dieu" ce qui donne la terre de dieu ou la terre sainte. Une autre étymologie donne, à partir du dialecte tifinach, l'interprétation de "terre de parcours"

Très vite, à Marrakech, sous l'impulsion des Almoravides, hommes pieux et austères, de nombreuses mosquées et médersas (écoles de théologie coranique) furent construites, ainsi qu'un centre commercial pour le Maghreb et l’Afrique noire. Marrakech grandit rapidement et s'imposa comme un centre culturel et religieux influent, des remparts sont également édifiés pour protéger la ville. Elle devient le Noyau, La Capitale des Almoravides.

La ville, fut ensuite fortifiée par le fils de Youssef Ibn Tachfin, Youssef Ben Ali, par la construction de remparts sur plusieurs kilomètres, l'architecture de la ville a été influencée par Fès, capital fondée par Idris Ier, et l'Espagne musulmane. Ces deux Villes sont le Rayonnement Culturel, Architectural du Maroc, mais aussi du Monde Arabo/Musulman ce sont elles qui ont Inspiré Al Andalus et qui l'ont déversé au Monde Arabe.

En 1147, les Almohades, partisans d’un Islam orthodoxe s'emparèrent de l'enceinte de la ville, les derniers Almoravides exterminés, la presque totalité des monuments détruits. Les Almohades construisirent de nombreux palais et édifices religieux, comme par exemple, la célèbre mosquée de la Koutoubia construite sur les ruines d'un palais almoravide.

Afin d'alimenter la palmeraie et les grands jardins, un système d'irrigation fut perfectionné. Marrakech, par rayonnement culturel attira de nombreux écrivains et artistes, venus notamment d'Andalousie.

En 1269, Marrakech fut conquise par les nomades mérinides aux dépens des derniers Almohades. Lorsque survient l'avènement de la dynastie Mérinide, Marrakech tomba alors dans une certaine léthargie, et son déclin entraîna la perte de son statut de capitale au profit de sa grande rivale, Fès.

Au début du xvie siècle, Marrakech redevient la capitale du royaume, atteint rapidement son apogée, en particulier grâce au sultan Saadien, Mohammed El Mahdi. De part la fortune amassée par les sultans, Marrakech fut embellie, les monuments en ruine alors restaurés et de somptueux palais édifiés. Le palais bâti par les Saadiens, le Badi, est une réplique de l'Alhambra, réalisée avec les matériaux les plus précieux provenant d'Italie, du Soudan, des Indes et même de Chine. Un protocole fastueux inspiré du Topkapi d'Istanbul y est appliqué. Malgré leur opposition aux Turcs, les Saadiens sont attirés par la civilisation ottomane. Un vestige de cette influence réside dans le nom du quartier de Derb Dabachi, qui dérive du terme "ogdabachi" et désigne un officier supérieur dans la hiérarchie militaire ottomane.

Marrakech va de nouveau perdre son statut de capitale.

À la fin du xviie siècle, l'actuelle dynastie alaouite succéda aux Saadiens. Le trône est successivement transféré à Fès puis à Meknès, nouvelle ville impériale.

Au début du xxe siècle, Marrakech connaît quelques années de guerres civiles.

En 1912, l'instauration du protectorat français au Maroc met fin à cette anarchie. En 1956, le retour d’exil du roi Mohammed V sera fêté à Marrakech comme dans le reste du pays.

LES QUARTIERS DE LA VILLE :

La médina

La médina de Marrakech constitue le centre névralgique et le cœur historique de la ville de Marrakech. S'étendant sur une superficie globale de 600 hectares, elle est une des plus vastes médinas du Maroc et la plus peuplée d'Afrique du Nord. Son raffinement et sa spécificité urbanistique découlent directement de la virginité totale du terrain sur lequel elle fut érigée au xie siècle. Articulée autour d'un campement militaire, le Qsar El Hajar, et d'un marché, elle fut augmentée d'une kasbah au xiie siècle afin de la protéger des assauts répétés des tribus berbères de la plaine du Haouz, contribuant ainsi à assoir durablement l'hégémonie Almoravide. Les célèbres remparts de la vieille ville de Marrakech subirent d'importantes modifications au gré des dynasties. Ainsi, ils furent à de maintes reprises percés de nouvelles portes (Bab en arabe). Aujourd'hui, la hauteur des murailles oscille entre 8 et 10 mètres et s'étendent sur une distance totale dépassant les 19 kilomètres.

Le récent engouement pour les riads, ces maisons traditionnelles marocaines articulées autour d'une cour centrale, a généré de profondes transformations sociologiques au sein de la médina de Marrakech, où le prix du m² a atteint des sommets. Ainsi, un nombre non négligeable et croissant de modestes ménages marrakchis se voit poussé par la spéculation à "s'exiler" en dehors des remparts. D'autre part, on observe un phénomène de densification de l'habitat au sein de la médina. Cependant, on est loin d'assister à une muséification de la médina, loin s'en faut. En réalité, le succès touristique croissant de Marrakech a durablement revigoré la médina en attirant de nombreux jeunes au sein des dédales de la médina. Ainsi, il semblerait que plus de 40000 artisans y travaillent, répartis dans les différents quartiers thématiques organisant géographiquement la médina.

Le mellah, dans le sud est de la médina, fut et demeure aujourd'hui encore dans une moindre mesure le quartier juif de Marrakech. Loin d'être un ghetto, le mellah regroupait certains corps de métiers qui au fil et à mesure de l'histoire de Marrakech, devinrent des spécialités de cette communauté (Le métier de tisserand fut un exemple de ce phénomène). Il fut fondé en 1558 sous le règne de Moulay Abdellah à proximité du palais ce qui permit, comme ce fut le cas à Fès par exemple, au Sultan de mieux les protéger.

Les Jardins de l'Agdal jouxtant par le sud le Palais Royal furent créés dès 1156 selon l'historien officiel de la dynastie almohade par El Haj Ya'is, celui-là même qui fut à l'origine de la prestigieuse Koutoubia. Le terme "aguedal" signifiant par ailleurs "jardin" de manière générale par les Berbères, cette appellation de Jardins de l'Aguedal ne s'imposa comme appellation exclusive que vers la fin du xviiie siècle. Son existence, mise à mal par le temps est intimement liée à l'astucieuse gestion des ressources hydrauliques qui y est faite. Ainsi, le captage des eaux des nappes souterraines fut dès la fin duxie siècle assuré par un dense réseau de "khetarras", assisté plus tard par un système de viaducs plus élaboré en provenance de Aghmat, ville située plus au sud en direction de la vallée de l'Ourika. Enfin, le stockage des eaux de pluie était assuré par deux immenses réservoirs dont le plus grand, baptisé Es Sala, servit à l'entraînement des troupes à la natation en vue de la traversée du Détroit de Gibraltar.


Guéliz

Le quartier de Gueliz tire son nom du Jbel Gueliz, massif de grès de faible altitude situé au nord-ouest de l'ancienne médina au nom berbère. Ce fut le premier quartier situé à l'extérieur des remparts, autrefois réservés aux défunts. Articulé autour de l'actuelle Avenue Mohammed V joignant le Square Foucault et Bab Nkob au Jbel Gueliz, le quartier de Gueliz concentre la majorité des banques et des boutiques de Marrakech. La poste, située place du 16 novembre, est aussi un bâtiment datant de l'époque protectorale, au même titre que l'ancien marché de Guéliz qui fut récemment déplacé pour céder place au complexe Carré Eden (commerciale, résidentiel et hôtelier). L'ensemble du quartier de Gueliz ayant été classé par la wilaya zone immeuble R+ 5.


L'Hivernage

Situé au sud ouest de Gueliz, le quartier de l'Hivernage est un quartier abritant des villas cossues et de nombreux complexes hôteliers tel que le Sofitel, leSheraton, le Golden Tulip Farah pour ne citer que les plus prestigieux. Le poumon du quartier de l'Hivernage est l'avenue Mohammed VI, anciennement avenue de France, et récemment prolongée jusqu'à rejoindre au sud-est la route de l'Ourika le long des remparts de l'Agdal. Cette large et verte avenue abrite l'imposant Théâtre Royal, le Palais des Congrès, ainsi que la nouvelle grande gare.


L'Avenue Mohammed VI

Bien que fraîchement inauguré en mai 2004, le tronçon de 5 km de l'avenue Mohammed VI reliant l'avenue de la Ménara à la route de l'Ourika voit se développer rapidement de nombreux complexes résidentiels et hôteliers de haut standing.

. Par ailleurs, c'est le long de l'avenue Mohammed VI que fut construite la plus grande discothèque d'Afrique, Le Pacha de Marrakech, établissement ayant permis à Marrakech d'acquérir définitivement son nouveau statut de lieu de rendez-vous de la jeunesse branchée et des "clubbers". Enfin, c'est ici que fut construit le premier multiplex de Marrakech, le Mégarama, succédant ainsi aux deux "grands" cinémas de Marrakech que furent Le Colisée à Gueliz, et le Cinéma Rif, à Daoudiate. la ville de marrakech s'est entendue ces derniers année à l'ouest avec des nouveaux quartiers sur la route d'essouira.comme massira 1,2et3.hay azli et hay socoma et les douars environnant comme douar cherki et douar berrada.

*Source WIKIPEDIA

Mai 2009 - 1er prix de la Moroccan Dreams Academy - 3è RITM 2009 Rencontre Internationale de Théâtre de Marrakech



La Troupe Théâtre Académa organise, entre le 3 et le 7 novembre 2009, la 3ème édition des Rencontres Internationales de Théâtre de Marrakech RITM 3, qui aura lieu aux Théâtre Royal, Théâtre Dar Taqafa, et à l’Institut Français de Marrakech.

En 2009, RITM 3 intègre une programmation Marue'Kech qui invite l'art dans les espaces publics de la ville Ocre, avec des artistes qui créent hors les murs, explorent d’autres territoires, inventent d’autres relations avec le publics.

Les troupes de théâtre, les compagnies de rue et les artistes / scénographes urbains qui souhaitent participer aux RITM 3 sont tenus de faire parvenir, leur dossier de spectacles avant le 30 juin 2009.

Le règlement et les fiches d'inscription sont à télécharger sur le site :

www.theatreacadema.sitemaroc.com

Visitez notre site : www.marrakechdreams.com