dimanche 21 septembre 2008

Marrakech sous le feu des projecteurs


Trois équipes de journalistes représentant des supports médiatiques télévisuels d’Italie, des Emirats Arabes Unis et des Etats Unis comptent réaliser en décembre prochain des reportages sur la ville de Marrakech et sa région.

Une délégation de journalistes de la télévision italienne "RAI Uno" réalisera du 18 au 23 décembre un "Spécial Marrakech", une émission de 30 minutes qui sera diffusée dans le cadre du programme de la chaîne baptisé "Stella del Sud" (étoile du sud), qui bénéficie d’un audimat de 2 millions de téléspectateurs.

Un groupe de journalistes de la Chaîne de télévision émiratie spécialisée en tourisme "Arabian travel TV" procédera, du 14 au 16 décembre, au tournage d’une émission sur la cité ocre et sa région. Le tournage concernera également les villes de Casablanca, Rabat, Meknès, Fès, Ifrane et Beni Mellal.

Par ailleurs, une équipe de 11 journalistes américains de la presse audiovisuelle réaliseront du 1er au 12 décembre une série de reportages sur plusieurs villes du Maroc, dont Marrakech.

Bladi.net

dimanche 14 septembre 2008

Découvrez Marrakech


Aujourd'hui, nombreux sont les étrangers qui, conquis par Marrakech, quittent les cieux d'Europe pour s'installer au Maroc et y concrétiser un projet lié à l'artisanat. Appropriation des codes du savoir-faire d'un art traditionnel, céramique, dinanderie... puis mise en place d'une structure avec des maâlems et des artisans en formation, les nouveaux designers se confrontent à la culture marocaine, à ses signes et à ses matériaux et créent leur propre style. De cet élan créateur naissent des lampes, des photophores, des vases, des poufs aux formes contemporaines. Certains se distinguent par l'excellence de leur travail. Leur notoriété a dépassé les frontières marocaines. Originalité et créativité. Une des forces attractives pour tous ceux qui oeuvrent dans la déco est de pouvoir réaliser des pièces à l'unité. On peut créer l'objet unique. Quelle que soit la matière, dans le cuir, le maillechort, le bois, la cire, le tissu...

Marrakech, ville des riads :

Populaire et aristocratique, la ville des palais et des riads fascine et intrigue. Marrakech attire le meilleur comme le pire. Ville incontestée des arts traditionnels, son artisanat connaît, sous l'influence des designers, un nouveau souffle. Elle attire des créateurs du monde entier. Elle est à la fois une des villes les plus exotiques et les plus branchées du Maroc. On y vient se détendre, s'amuser, découvrir les nouvelles tendances déco...

Pas loin de la place des ferblantiers, nous entrons au hasard dans un restaurant. Par quelques signes qu'une longue fréquentation de la médina permet de lire, la façade laisse deviner la beauté de l'architecture intérieure. Nous ne sommes pas déçus. Le riad est beau, la déco séduisante et l'atmosphère créée par les luminaires nous incite à rencontrer le propriétaire du restaurant « La Tanjia ». Nous sommes à Marrakech pour y sentir non seulement la ferveur créatrice des artistes artisans, mais aussi pour découvrir les endroits qui font le plaisir des Marrakchis.

Circuit Marrakech :

Si la vie plurielle, colorée, inépuisable, caractérise la place Jamaa el Fna et la médina avec sa foule, ses saltimbanques, ses marchands, ses touristes, le quartier du Guéliz est un de ceux qui connaît le plus de transformations aujourd'hui. Début du XXe siècle, la ville coloniale s'installe dans la plaine entre la médina et le rocher du Guéliz qui lui donne son nom. Une large artère principale est tracée dans la perspective du minaret de l: Koutoubia. Elle assure l'articulation des deux agglomérations sur le place Jamaa el Fna. Ce n'est pas sans un certain choc que les marrackchis avaient appris la destruction du marché du Guéliz. Étalages de fruits, bouchers herboristes, fleuristes disparaissent de ce qui était un lieu de vie essentielle pour tout habitant de la ville. Mais peu de temps est laissé ; la nostalgie. On détruit pour reconstruire. On transforme. En moins d'un an, de immeubles se dressent. La place des 16 novembre devient un lieu de promenade entre boutiques, cafés et jets d'eau. Un espace d'achat. de nombreuses enseignes y ouvrent Etam, Du Pareil au Même, Betty Floxer Planet Sport, Lynx Optique, Home Wear Kshop, Beauty Success, Votre Mesure... et un peu plus loin, collé au temple du hamburger MacDonalds, le premier Zara Room du Maroc... Ici la ville se retrouve pour flâner s'amuser, acheter. Marrakech n'aura plus rien à envier à Casablanca et.Rabat. C'est dans la ville du sud qu'on vient découvrir les nouvelles tendances déco, sortir dans les cafés... Avant, seule Casablanca avait ce monopole. Aujourd'hui, elle le partage avec Marrakech. Et Rabat tente de ne pas rester à la traîne. Comme on ne manque pas à chaque séjour de déguster les délicieuses glaces italiennes sur la place centrale d'Essaouira, on fera de même au 16 Café avec son concept nature et fraîcheur.

samedi 13 septembre 2008

Le mariage juif marocain : une mode à Marrakech !

© femme

Dans la religion judaïque, l’être humain ne peut connaître l’épanouissement véritable que dans le cadre du mariage : un homme sans épouse, ou une femme sans mari, est considéré comme une personne incomplète. Plusieurs rituels et cérémonies parfois complexes sont donc nécessaires afin de s’assurer du bonheur des futurs mariés. Mixez le tout avec les traditions arabo-berbères marocaines et vous obtiendrez… un mariage juif marocain !

La synagogue est pleine. Séparés, hommes et femmes sont assis de part et d’autre de l’allée qui mène à la ‘houpa, le dais sous lequel les futurs époux, leurs parents, les témoins et le rabbin vont se tenir pendant le mariage. Les parents du ‘hatan (le nouveau marié) s’engagent dans l’allée et s’arrêtent à mi-chemin. Ils sont bientôt rejoints par leur fils Cyril qui, un sourire ému sur le visage, continue avec eux jusqu’à la ‘houpa. Puis c’est au tour des parents de la mariée (la kalla) de s’avancer, et enfin, Esther apparaît, souriante et rayonnante. La cérémonie de Kiddushin, dite aussi des “sept bénédictions”, peut commencer. C’est un moment chargé d’émotions pour le jeune couple et leurs familles, le point culminant d’une série de festivités et de rites qui ont débuté deux jours plus tôt.
Deux ou trois jours, c’est la durée moyenne d’un mariage juif marocain, même si certains se déroulent sur plus d’une semaine. Ainsi, Sarah et Avi, deux jeunes Casablancais, ont choisi de célébrer leur union “à l’ancienne” : sept jours rythmés par les fêtes et les rituels, comme dans les noces musulmanes traditionnelles. La ressemblance ne s’arrête d’ailleurs pas là, les deux communautés partageant un grand nombre de coutumes, de pratiques sacrées et de symboles, qui n’ont rien à voir avec la religion, et tout à voir avec une histoire, une culture arabo-berbère commune…

Sept jours avant…
Une semaine, donc, avant le mariage de Sarah et Avi, famille et amis proches se retrouvent chez les parents de la jeune femme, en présence de rabbins et de témoins pour la signature de la kétouba. Cet acte énonce les engagements du futur époux envers sa femme, et fixe le montant de la dot à lui verser en cas de divorce. Bien que ne faisant pas vraiment partie de la cérémonie, la kétouba est indispensable à la validation du mariage. À cette occasion, la famille et les amis d’Avi ont escorté avec des youyous des cônes de cadeaux jusqu’à la maison de la fiancée : nuisettes, maquillage, bijoux, chaussures, et surtout des plateaux chargés de fruits secs, d’épices et de plantes bénéfiques, comme le henné. Leur arrivée est annoncée en musique par l’orchestre. Une fois l’assemblée au complet, les rabbins demandent à Sarah et Avi s’ils sont consentants, sous quel régime ils souhaitent se marier, et annoncent le montant de la dot. Cette somme, censée protéger l’épouse d’un caprice futur de son mari pour une femme plus jeune est donc aussi le symbole de l’amour et de la volonté d’engagement de celui-ci (voir encadré), et de la valeur qu’il accorde à sa fiancée. D’où l’expression évocatrice “Zid Liha Fel Kteba” (rajoute-lui dans sa kétouba), qu’on utilise en parlant au mari pour complimenter sa femme ! Une fois la kétouba signée par deux témoins, il ne reste plus qu’à apprécier le premier des repas de festivités de la semaine…

Lilet El Henna
Le mercredi suivant, c’est Lilet al Henna, “la nuit du henné”, ou Lilla Lekbira, “la grande nuit”. Cette fête très importante regroupe autant de monde que le soir de Keddushin. Les femmes sont en caftan, celui de Sarah, Lalla Laâroussa, est couleur or. Puis elle se change et met la fameuse Keswa Lakbira, la robe de mariée juive, composée de plusieurs pièces en velours abondamment brodé au fil d’or. Cette dernière est rouge bordeaux, selon la tradition fassie. Une tenue complétée par les riches bijoux prêtés par la neggafa. Le rituel du henné commence une fois la jeune femme revêtue de la Keswa Lakbira. Il est censé lui apporter chance et bonheur, et la protéger du mauvais œil. Une femme plus âgée, souvent la grand-mère d’un des fiancés, applique un cercle de henné sur la paume de la main des mariés et des invités. Les youyous retentissent alors, et les femmes entonnent une vieille chanson en darija, “Abiadi” : “…sois fière la mariée, met du henné sur ta main…”

Une autre tradition est ensuite perpétuée pendant Lilet el Henna, celle de Leghrama, la remise des cadeaux de la famille et des invités au jeune couple, et en particulier à la kalla. Coutume à l’origine pratiquée par tous les Marocains, elle a presque disparu des mariages musulmans, sauf en zone rurale. Dans la communauté juive, les présents consistent surtout en bijoux, mais aussi en chèques ou en voyages. Bien que certaines familles préfèrent désormais faire Leghrama en privé, de manière moins ostentatoire, d’autres appliquent encore la tradition à la lettre. Famille et amis accrochent donc des colliers au cou de Sarah, qui porte désormais un caftan blanc, et enfilent des bracelets à son poignet. Avi lui offre une bague de fiançailles et reçoit de son côté des montres et des boutons de manchettes. Et puis la soirée reprend son cours, on se régale de tajines, de pastillas, de méchoui… Tout le monde danse, la mariée y compris, jusque tard dans la nuit, au son de l’orchestre qui joue un mélange de musique andalouse et de musique populaire marocaine et orientale. En effet, laâroussa juive, loin de devoir rester assise et passive, profite complètement de la fête dont elle est l’héroïne. Dans les mariages modernes, généralement plus courts, comme celui d’Esther et Cyril, le rituel du henné a souvent lieu le soir même de la cérémonie à la synagogue.
Dernier cérémonial avant le mariage proprement dit, le mikvé, le bain rituel, a une grande importance symbolique. La jeune femme s’y rend accompagnée de sa belle-mère, de femmes de sa famille et d’amies proches qui apportent avec elles douceurs, dattes, confitures et limonades. Lavée, épilée, et sans artifices tels que vernis à ongle ou maquillage, la future mariée s’immerge à plusieurs reprises dans le mikvé : l’eau doit la recouvrir complètement, afin de la purifier. Autour d’elle, les femmes chantent et lancent des youyous. Sarah dépeint ce rituel comme “un moment chargé d’émotion, une véritable communion”. La tradition veut que la jeune femme s’immerge sept fois, ce qui rappelle les sept seaux utilisés autrefois au hammam pour purifier la future épouse musulmane et la placer sous la protection des anges. Après le mikvé, la fiancée n’est plus autorisée à voir son “promis” et ce jusqu’au mariage.

Du bonheur sous les youyous
Et enfin, le soir de Kiddushin arrive. La cérémonie est simple, émouvante, et entrecoupée par des chants en hébreu, beaux et mélancoliques. Esther remonte l’allée de la synagogue, ravissante dans une robe blanche brodée d’argent, et rejoint son futur mari sous la ‘houpa, symbole du foyer que le couple doit construire et partager. Après avoir dit quelques mots sur les deux jeunes gens et leurs familles, sur le point de s’unir, le rabbin commence à réciter les sept bénédictions, le kiddush. Le ‘hatan boit une gorgée de vin béni, et la kalla l’imite. Puis c’est le moment crucial, la remise de l’anneau d’or. Cyril tient l’alliance dans sa main et déclare à sa fiancée : “Te voici sanctifiée à moi selon la loi de Moïse et d’Israël”. Il passe ensuite l’anneau à l’index droit d’Esther, en prenant garde de ne pas la toucher ; il n’en a pas encore le droit. Pour cela il ne fait que glisser la bague jusqu’à la première phalange, la kalla refermant sa main dessus. Ça y est, ils sont mariés : Esther pousse un cri de joie en montrant sa main baguée à l’assemblée ! La kétouba est alors lue à voix haute, puis donnée à la mariée afin qu’elle la conserve précieusement. Enfin le rabbin finit de réciter le kiddush tandis que le Cyril boit à nouveau du vin béni et en donne à boire à son épouse. Une fois leur union ainsi “sanctifiée”, on ouvre le Hékhal, sorte d’armoire contenant les rouleaux de la Torah. Le nouveau couple demande le pardon de ses péchés et renaît comme une seule âme. Puisque les voies du ciel sont censées s’ouvrir pour les mariés, leurs prières seraient exaucées. En se retournant vers l’assemblée, les yeux d’Esther sont embués de larmes. Le ‘hatan accomplit alors l’acte généralement associé au mariage judaïque dans l’imaginaire collectif : d’un coup de talon, il brise un verre préalablement enveloppé dans une étoffe blanche. Ce geste rappelle à tous qu’aucune joie, même la plus grande, ne peut être parfaite depuis la destruction du Temple de Jérusalem. Mais certains disent aussi que c’est là “le dernier acte d’autorité du mari”… En tout cas, il marque la fin de la cérémonie. Les jeunes mariés s’embrassent et s’enlacent puis quittent la ‘Houpa entourés par les invités enthousiastes et les youyous. “Mazel Tov” !

Que la fête commence !
C’est maintenant l’heure du banquet, un moment certainement très attendu par les héros de la soirée, puisqu’ils jeûnent depuis la veille au soir… Dans la grande salle de réception, un DJ, des jeux de lumière et des tables blanches décorées par de beaux bouquets de roses. Le résultat est plutôt sobre, élégant. Dolly Levy-Bencheton, traiteur à Casablanca précise que s’il y a bien un retour aux traditions, la cuisine marocaine et les décorations et dorures orientales sont surtout réservées aux soirées du henné et à la signature de la kétouba. Pour le mariage, les couleurs tendances sont l’argent, le noir et blanc, et la cuisine est plus occidentale. Entre chaque plat, les mariés et les invités se lèvent et se retrouvent sur la piste, le DJ passant un mélange de musique orientale et pop. Au début, hommes et femmes (qui ne sont pas séparés à table) vont chacun de leur côté. Esther tourne sur elle-même et fait voler son jupon, entourée par ses amies. Cyril lui, danse en cercle avec les hommes. Puis, tous se regroupent et portent la mîda, la table sur laquelle la kalla et le ‘hatan se tiennent. Les youyous retentissent. Ainsi élevé au-dessus de l’assistance, le marié n’a pas l’air très assuré, tandis qu’Esther, radieuse, salue ses amis et sa famille. On les fait redescendre, ils s’embrassent, puis la mariée danse avec son père, très ému. Après le dîner, Esther et Cyril se sont éclipsés, et sont revenus juchés sur des aâmmariyate, lui en djellaba et elle en caftan rouge et or. Parée de bijoux, la mariée se trémousse en rythme avec la musique orientale. Alégria, une cousine de la mère d’Esther arrive alors, portant un bol rempli de henné qu’elle applique sur la paume des mains du nouveau couple mais aussi de tous les invités, pour leur porter bonheur : on dit même que les jeunes filles qui le mettent trouveront un mari dans l’année. Tard dans la nuit, les derniers invités s’en vont, c’est Lilet ar-raha, la nuit du repos.

Pendant la semaine qui suit le mariage, l’usage voulait qu’une fête soit donnée chaque soir par les membres de la famille, en l’honneur des mariés. Mais cette coutume, réminiscence des mariages fastueux des siècles derniers, se perd. Avec une communauté juive qui n’est plus que l’ombre de ce qu’elle était, on peut craindre la disparition de ces traditions, de ce savoir-vivre, et ainsi, d’une partie de la culture marocaine, déjà amputée par l’exode massif des juifs que le pays connaît depuis plus d’un demi-siècle. Cependant, il suffit de faire un tour sur Internet pour se rendre compte à quel point les juifs marocains chérissent leurs racines, leur histoire, leur culture et les traditions qui s’y rattachent. Il n’est pas rare, apparemment, de trouver un portrait du roi Mohamed VI accroché au mur d’un salon, en Israël ou au Canada. D’ailleurs, selon Dolly Lévy-Bencheton, de plus en plus de familles juives d’origine marocaine et qui vivent à l’étranger reviennent célébrer leur mariage “au pays”, principalement à Marrakech. Plus qu’une mode, ce phénomène est pour elle “une sorte de retour aux sources, vers une ambiance et une chaleur qu’on ne retrouve nulle part au monde”.

Source : Femmes du Maroc

vendredi 12 septembre 2008

Signature du livre de Leila Ghandi











Date
le Samedi 27 Septembre 2008
17h00 - 21h00

Catégorie
Culture

Lieu
Galerie 127, 127 Av. Mohammed V, 2ème étage, Marrakech T 024 43 26 67
40 000 Marrakech

Description
La signature du livre de Leila Ghandi 'Chroniques de Chine' aura lieu le samedi 27 septembre 2008 de 17 heures à 21 heures à la Galerie 127 à Marrakech. Et l'exposition des photographies issues du livre se tiendra jusqu'au mercredi 8 octobre 2008.

Catégorie
Culture

Lieu
Galerie 127, 127 Av. Mohammed V, 2ème étage, Marrakech Tél : 024 43 26 67
40 000 Marrakech

Description
La signature du livre de Leila Ghandi 'Chroniques de Chine' aura lieu le samedi 27 septembre 2008 de 17 heures à 21 heures à la Galerie 127 à Marrakech. Et l'exposition des photographies issues du livre se tiendra jusqu'au mercredi 8 octobre 2008.

Réunion a Marrakech pour l'examen des grands projets d'investissement dans la ville

Marrakech ; Une réunion destinée à l'examen des grands projets d'investissement au sein de la ville de Marrakech a été tenue récemment dans la cité ocre, en présence notamment du wali de la région de Marrakech-Tensift-Al Haouz, Mounir Chraïbi.


Réunion a Marrakech pour l'examen des grands projets d'investissement dans la ville
Lors de cette réunion tenue au siège de la wilaya, il a été procédé à l'examen de 33 projets dont 23 projets nouveaux, indique un communiqué du Conseil communal de la ville .

La circonscription de Guelliz s'est accaparée la part du lion de ces projets avec 16, la circonscription Ennakhil vient en deuxième position avec 11 projets, alors que la circonscription Al Ménara occupe la troisième place avec 6 projets.

A noter que le volume des investissements dans la région de Marrakech- Tensift-Al Haouz, pour la période allant de 2003 à 2007, a atteint 158 milliards de DH, dont 112 milliards de DH dans le secteur touristique, 43 milliards de DH pour le bâtiment et 2 milliards de DH dans le secteur des services.

A l'échelle régionale, la ville de Marrakech a occupé la première place avec 66 pc du total de ces investissements.

Source : Marrakech News

jeudi 11 septembre 2008

Nikki Beach

Le Nikki Beach, anciennement Sunset Club, est une excellente adresse pour passer une journée au bord d'une piscine dans un cadre paradisiaque agrémenté d'une cuisine fort correcte.

Le Nikki Beach est un lieu à ne pas rater pour goûter en toute quiétude au luxe du bord d'une belle piscine.

Le Nikki Beach décline la mode tropézienne des plages restaurants sur Marrakech. Structuré autours de trois piscines ainsi que des courts de tennis et de squash, le Sunset est un club privé également accessible aux non membres moyennant un droit d'entrée. Situé en plein coeur de la palmeraie de Marrakech, le Nikki Beach séduit par la beauté de sa grande piscine, la belle décoration de son bar restaurant, le confort des matelas et des lits éparpillés autours de ses jardins et son service approprié.

Le restaurant propose une cuisine internationale alliant viandes et poissons. Les suggestions du jour sont souvent fort réussies et s'appuient sur les grands succès de la cuisine méditerranéenne comme les paellas par exemple. L'établissement propose également une belle carte de vins ainsi que vos cocktails préférés. Vous pouvez à loisir décider de déjeuner ou dîner dans le restaurant, sur sa terrasse ou tout simplement au bord de la piscine.

L'établissement est fréquenté par une clientèle cosmopolite composée de riches marocains, d'expatriés étrangers et de quelques touristes aisés. Bien entendu, le Nikki Beach est également fréquenté par les médiocres diva qui forment la cours de la jet set marrakchie. Heureusement, ils sont souvent fort peu nombreux et généralement traités avec mépris par un personnel qui privilégie le service aux discrets membres du club. Ils ne parviennent fort heureusement pas à aigrir l'ambiance de ce havre de paix et d'harmonie. Le Nikki Beach est donc à fréquenté ne serait-ce qu'une fois pour savourer une belle journée ensoleillée dans le luxe en écoutant distraitement l'excellente musique électronique mixée par le DJ de la maison.


Informations pratiques

NIKKI BEACH
Circuit de la Palmeraie
Marrakech

Tél. : +212 (0) 24 44 90 41

Droit d'entrée pour les non-membres : 200 DH

mercredi 10 septembre 2008

Marrakech: La troisième édition du Festival international du théâtre universitaire

Le Festival International du Théâtre Universitaire de Marrakech mis en place par la Faculté des Sciences Juridiques Économiques et Sociales de Marrakech, sera de rendez-vous du 27 au 30 avril 2009. Son importance est grandissante pour les milieux culturels à Marrakech d'où la détermination de ses responsables d'œuvrer pour en faire un événement culturel de premier ordre, a-t-on indiqué dans un communiqué de presse reçu par Marrakech News.


Marrakech: La troisième édition du Festival international du théâtre universitaire
Les Festivals du Théâtre Universitaire ont pris une telle importance dans beaucoup des villes (Casablanca, Agadir, Fès, Marrakech, Tanger et Oujda).

Ce sont ces rendez-vous artistiques qui rythment la vie culturelle universitaire nationale, enrichissent et nourrissent la vie culturelle de l'étudiant.

Le théâtre est un art, il est en même temps un moyen d'expression.

Notre objectif c'est de découvrir et de réunir ceux qui cherchent de nouveaux acteurs du théâtre.

Ainsi que développer chez le public Marrakchi et les étudiants de l'Université Cadi Ayyad le gout du théâtre universitaire, par la diversité des spectacles.

Enfin, cet événement constitue une opportunité pour les étudiants de développer leurs acquis artistiques.

L'inscription est ouverte pour toutes les troupes théâtrales nationales et internationales : Email : (faik_90@hotmail.com).

Source : Marrakech News

lundi 8 septembre 2008

Marrakech choisie par la télévision canadienne pour accueillir l'émission 'City chasse'

Un choix entre Prague, Abou Dhabi et Marrakech a fait nommer la ville ocre pour recevoir les concurrents choisis dans plusieurs pays du monde pour une compétition, dite, "Chasse city".

Par groupe de personnes, deux par groupe, les concurrents partent dans une chasse aux trésors, les concurrents doivent trouver des lieux, relever des défis et répondre à des énigmes. Les candidats se déplacent seulement à pied ou en utilisant les transports en commun.

Les pays représentés sont le Canada, les États-Unis, la France, le Portugal ou Singapour etc. Une équipe marocaine participera d'ailleurs à cette finale. En 2005, cette émission "city chase" est même désignée par les médias "le meilleur évènement sportif au Canada".

Bonne nouvelle pour les services publics à Marrakech, "City Chase" c'est aussi un nombre de téléspectateurs titanesque. Plus de 100 millions de personnes dans le monde vont regarder cette émission sur la chaîne National Geographic. Une véritable publicité gratuite pour la destination Maroc–Marrakech à échelle mondiale.

la deuxième chaine nationale pourrait être le contactant pour transmettre l'émission, a-t-on appris sur le site yabiladi com.

Design oriental, gloire et beauté

Pour sa 100e, "Clé sur porte" nous emmène à Marrakech, sur RTL-TVI, samedi à18 h 25.

A l'antenne depuis deux ans et demi, le programme de l'immobilier chic et original, "Clé sur porte", fête sa centième édition. Diffusé samedi 6 septembre à 18 h 25, sur RTL-TVI, ce programme spécial nous emmène, une fois n'est pas coutume, à Marrakech, à la découverte de lieux somptueux et insolites. Si l'équipe de "Clé sur porte" a choisi de se délocaliser et de visiter la ville rouge pour cet événement, c'est à cause du "boom" immobilier qui s'y produit et des bonnes idées vacances qu'elle pouvait suggérer.

Sabrina Jacobs guide donc le téléspectateur à travers les chambres, les spas, les piscines et les salons de luxueux riads transformés en hôtels, chacun édifié d'après un concept original. Une série de sujets reliés par le thème du design et de l'élégance, mélange de modernité et d'orientalisme. Il y a, par exemple, le riad Anayela, où le propriétaire a découvert, en faisant des travaux, une boîte en argent dans lequel il a trouvé une lettre d'amour. Il a choisi d'en faire le thème de son hôtel, ainsi, les phrases - en arabe - de l'histoire d'amour sont déclinées sur les murs et la lettre, reproduite dans plusieurs pièces. Le célèbre hôtel Murano et sa piscine rouge "très particulière" font aussi partie de la visite guidée à travers des lieux authentiques ou, dans ce cas, branchés.

De la déco originale pour tous

Le principe de "Clé sur porte" - "donner des trucs et astuces à reproduire pour la décoration" de sa propre maison - n'est pas bafoué même si ce sont des décors de rêve et que l'on imagine mal se faire construire une salle de bains tout en miroirs avec huit mètres de hauteur sous plafond. Si Sabrina Jacobs le confirme, "l e but est de se donner des idées même si l'on n'a pas un gros budget", cette émission spéciale est faite pour rêver, découvrir des lieux atypiques.

De toutes façons, le glamour est leur marque de fabrique. "On compare souvent "Clé sur porte" à l'émission de la RTBF, "Une brique dans le ventre", pourtant, c'est différent : ils donnent des astuces et des conseils pour la construction et le bricolage par exemple, alors que nous nous concentrons essentiellement sur le design, la décoration, le lifestyle, les concepts originaux et les demeures belges hors du commun tout en donnant des astuces pour reproduire cela chez soi", explique Sabrina Jacobs.

Pour la rentrée, l'équipe de "Clé sur porte" est sereine, des centaines de maisons attendent d'être visitées et l'année 2007-2008 fut concluante : l'émission a rassemblé en moyenne 217389 personnes, soit 23,3 pc de parts de marché sur RTL-TVI, et c'est le 8 décembre 2007 qu'elle a réalisé sa meilleure audience en réunissant 303221 personnes, soit 28,9 pc de part de marché.

dimanche 7 septembre 2008

Restaurant La Villa

Une villa, une terrasse, une villa terrasse à la carte savoureuse et aux prix doux.

Depuis la fin 2006, le quartier de l’Hivernage peut se flatter d’avoir une des plus belles tables de Marrakech. Niché en face de l’entrée de l’Hôtel Kenzi Farah, La Villa nous propose une cuisine sérieuse et savoureuse basée sur des matières premières de premier choix. Avec un menu composé d’une entrée, d’un plat et d’un dessert à 250 Dirhams, ce restaurant français compte sans conteste parmi les meilleurs rapports qualité/prix de Marrakech.

Installé dans une belle maison moderne, le restaurant « La Villa » vous surprend dès l’entrée avec sa salle disposée dans ce que nous supposions être un jardin. Cette salle principale à la fois graphique et épurée nous mène dans un univers convivial et légèrement Zen. Ici pas de clinquant inutile mais une atmosphère familière et intime qui se transforme les beaux jours en terrasse chic et confortable.

Derrière « La Villa » se cache en cuisine un vrai chef qui a su créer une carte savoureuse et parfaitement maîtrisée. Didier Beckeart ne cherche pas à impressionner ses convives de créations nouvelles mais à pleinement les satisfaire grâce à des recettes classiques remises au goût du jour. Un excellent carpaccio d’espadon, des œufs cocottes aux cèpes, un « cappuccino » de gaspacho ou un superbe foie gras frais poilé constituent de véritables dilemmes pour entamer votre repas. Un délicat filet de St Pierre, une jolie pièce de bœuf ou l’imposante pièce du boucher conseillée aux bonnes fourchettes sont tous succulents et cuits à la perfection. Pour le dessert, aucune hésitation n’est permise. Vous jetterez votre dévolu sur le simple et délicieux « Pain perdu de Mamy ».

La Villa vous propose également une belle carte de vins marocains et français. Commençant à 130 dirhams pour un gris de Guérouane, elle prend toutefois véritablement de l’intérêt avec son excellent St Emilion.

Avec sa formule entrée, plat et dessert à 250 DH, le chef Didier Beckeart prouve au quotidien qu'il est possible de faire une cuisine raffinée et créative sans "braquer" le portefeuille de ses clients. On apprécie également les spécialités de foie gras de la maison et on adore son pain perdu de Mamie. La Villa est un restaurant de Marrakech à manquer sous aucun prétexte.